Uvex i-range : la nouvelle gamme de lunettes de protection 3 en 1 déclinable en version planet

Une gamme 3 en 1 qui s’adapte à tous les environnements de travail
uvex i-lite : les lunettes à branches légères et sportives
Grâce à la géométrie plate de ses oculaires, les lunettes à branches uvex i-lite offrent une vision dégagée à 360°. De plus, ses branches ergonomiques dont l’inclinaison se règle à plusieurs niveaux, permettent un ajustement optimal et un maintien sans point de pression. Ainsi, elles sont parfaitement adaptées pour les travaux d’assemblages simples.
uvex i-guard : les lunettes qui protègent contre les intrusions
Grâce à son armature hautement flexible et ventilée qui s’adapte à la forme du visage, la lunette à branches uvex i-guard offre une sécurité supplémentaire contre les intrusions de particules, de liquides et de poussières conformément aux marquages 3 et 4 de la norme EN 166. Ainsi, la zone oculaire est ainsi parfaitement protégée.
uvex i-guard + : les lunettes-masques idéales pour les travaux difficiles
Particulièrement robustes, les lunettes-masques avec bandeau offrent une résistance mécanique accrue (résistance aux impacts 120m/s). Grâce à la ventilation indirecte, elles assurent un climat agréable à l’intérieur des oculaires. De plus, leur pont de nez souple et flexible permet un ajustement universel. Ce modèle est idéal pour
les applications à haut risque nécessitant un effort physique intense.
Par ailleurs, les 3 modèles de la gamme uvex i-range sont dotés de la nouvelle génération du traitement éprouvé uvex supravision excellence (oculaire intérieur antibuée avec une performance 4 fois supérieure aux exigences de la norme EN 166 N et oculaire extérieur anti-rayures et résistant aux produits chimiques) et d’une protection UV400 pour une visibilité optimale dans toutes les situations. Selon les applications, il est également possible de remplacer le bandeau par les branches et inversement pour s’adapter à chaque utilisation.
Les modèles de la gamme i-range peuvent également être déclinés en version solaire et en version « planet » en matériaux recyclés. D’ailleurs, l’armature flexible des modèles uvex i-guard et i-guard+ est déjà fabriquée à partir de rebuts de production à hauteur de 35%. uvex i-range planet : l’extension de la gamme en matériaux durables
Conformément à la devise « protecting planet », les lunettes de la gamme uvex i-range planet contribuent efficacement à la protection de l’environnement. En effet, elles sont conçues à base de matériaux recyclés et biosourcés pour une production respectueuse et économe en ressources. Quant aux caractéristiques techniques des lunettes de protection telles que la résistance mécanique, la protection UV, le design et le confort, elles restent inchangées pour une protection optimale de l’utilisateur.
Tout d’abord, les branches des lunettes uvex i-range planet sont fabriquées à 39% à partir de matériaux biosourcés à base d’huile de ricin. Les systèmes de fixation et les
raccords du bandeau sont conçus à partir de bouteilles en PET recyclé et le bandeau est fabriqué à partir de textile recyclé. L’énergie nécessaire pour leur production provient de la biomasse.
Les lunettes-masques uvex i-guard + planet sont ainsi conçues à partir de 19,81% de matériaux recyclés selon la norme EN 14021

BUCCI Industries France au salon Global Industrie 2022

IEMCA – le système BDC : un guidage optimisé des barres dans le cadre d’applications très spécifiques

Filiale du groupe italien BUCCI Industries, l’entreprise IEMCA est le leader mondial des embarreurs automatiques depuis 1961. En 2021, 1800 embarreurs IEMCA ont été installés au niveau mondial. Mais ceci ne l’empêche pas de conserver intact son esprit « Orienté client » avec le développement continu de systèmes uniques et innovants. La gamme comprend des embarreurs automatiques pour tours monobroches à poupée fixe ou mobile, pour des barres jusqu’à 6 mètres et des diamètres compris entre 0,8 mm et 100 mm (et au-delà).

Les systèmes de guidage dont disposent les chargeurs de barre IEMCA, la rigidité de leur structure et les douilles standard fournies assurent le parfait guidage de la barre dans la quasi-totalité des applications. Mais, dans le cas d’applications très spécifiques et/ou en présence de barres de mauvaise qualité, le centreur BDC est la solution brevetée par IEMCA pour un guidage optimisé des barres dans la machine-outil. IEMCA est à même d’adapter le centreur BDC à chacune des applications, aussi bien pour les tours à poupée fixe que pour les tours à poupée mobile.

Le système offre un guidage optimisé des barres dans le tour, quels que soient leur diamètre et leur section. Parfaitement dimensionné selon le diamètre de la barre travaillée, il amortit les vibrations et permet de réduire le bruit. Le centreur BDC peut être porté en rotation par la barre, de manière à l’accompagner pendant qu’elle est usinée. La génération de friction est évitée, ce qui réduit l’usure de la douille en polyuréthane.

KITAGAWA – Nouveau plateau diviseur 4ème axe de la série MK

Avec la marque Kitagawa (moyens de serrage), BUCCI Industries France est à même de proposer à ses clients une solution complète, du chargement de la matière au serrage de la pièce. Depuis 2015, grâce aux développements conjoints avec Kitagawa Europe, le bureau d’études apporte une réponse aux besoins très spécifiques des clients.

KITAGAWA élargit sa gamme de plateaux diviseurs MK avec les modèles MK200, MK250 et MK350 (bientôt disponible). Des améliorations majeures ont été apportées dans les domaines de la performance, du montage et du choix de joints tournants. Au niveau de la performance, le couple de serrage de la série MK a été amélioré de 40 %. MK200 atteint un couple de serrage statique de 570 N.m par rapport à l’ancien MR200 350 N.m ; MK250 atteint 1000N.m de couple de serrage statique par rapport à l’ancien MR250 600N.m.

ALGRA, la nouvelle gamme de porte-outils tournants dédiée aux machines-outils BIGLIA

BUCCI Industries France est ravie d’annoncer l’élargissement de la gamme de porte-outils tournants ALGRA avec les machines-outils BIGLIA.

Parmi ses points forts, citons la rigidité grâce au corps monobloc ; l’ergonomie avec une nouvelle clé qui permet de serrer/desserrer l’écrou avec une seule main. De plus, la gamme est dotée du système breveté UNI CHANGE qui apporte des gains de temps conséquents lors des changements de séries, beaucoup de confort et de flexibilité à l’opérateur. Ce dernier n’a plus besoin de démonter le porte-outil de la tourelle, il lui suffit de changer la tête du porte-outil. UNI CHANGE s’adapte simplement et rapidement sur tous les porte-outils équipés d’un bonnet ER DIN 6499.

Enfin, une bague d’étanchéité mécanique protège le mandrin du porte-outil et limite ainsi la transmission de température de ce dernier pendant l’usinage.

A noter que la garantie est de 2 ans et que la maintenance est assurée par Bucci Industries France, en interne à Cluses.

Ellistat se développe à vitesse grand V

A l’origine de ce succès, une histoire d’hommes, de transmission de père en fils, tous deux ingénieurs de formation.

Le logiciel phare d’Ellistat nommé APC -Automated Process Control-, est en effet issu de dix ans de développements initiés par le père du fondateur Maurice Pillet (statisticien formé à l’Ecole Normale Supérieure de Cachan, Directeur de recherche au Laboratoire SYMME, inventeur des concepts de tolérancement inertiel et de pilotage inertiel des processus)  et le laboratoire SYMME de l’Université Savoie Mont-Blanc.  Trentenaire, Davy Pillet aime les défis. Le Polytechnicien bénéficie d’expériences significatives dans l’industrie (Areva, Tefal) et d’une culture orientée production (amélioration continue, process, qualité). Il décide d’appliquer les concepts d’APC au niveau industriel. Il travaille à simplifier, démocratiser la technologie pour la rendre accessible à l’ensemble des usineurs et crée la société Ellistat en 2017. Celle-ci est rapidement soutenue et accompagnée dans le développement d’APC, notamment par une prestigieuse entreprise suisse d’horlogerie qui s’implique dans l’évolution de la solution, l’utilise au quotidien et teste les nouveaux développements.

APC, l’autopilote de la machine-outil

APC est une technologie révolutionnaire qui permet d’asservir les machines-outils. Objectif : une qualité de conformité dès la première pièce usinée. Le logiciel automatise le processus de réglage des machines-outils à partir de la mesure d’une seule pièce. Les gains pour les industriels sont multiples : diminuer de 75% les temps de réglages, d’arrêts machines et de changement de séries ; réduire de 90% les rebuts en recentrant au mieux la production ; limiter l’empreinte écologique -productivité machine et économies matière- et faciliter le recrutement en simplifiant le travail du réglage machine. Au final, les gains moyens annuels sont d’environ 20K€ par machine-outil pilotée.

L’objectif d’Ellistat est de devenir le leader du pilotage des activités d’usinage dans un contexte industriel en pleine transformation 4.0.

C’est dans ce cadre que l’entreprise a récemment signé un accord de rapprochement avec le Cetim visant à optimiser le pilotage et la surveillance en usinage avec des solutions conviviales et simples à configurer et à utiliser par les Méthodes et les opérateurs. Davy Pillet commente : « Chez Ellistat, nous croyons que notre créativité et que nos capacités de développement permettront de construire demain un monde dans lequel produire les composants qui sont indispensables à notre vie quotidienne sera plus simple, plus automatisé et plus pratique. Oui, nous pensons que la technologie peut aider à mieux produire et c’est en cela que nous nous appliquons chaque jour à créer les meilleures solutions logicielles pour automatiser chaque jour un peu plus l’industrie. »

En plus du logiciel APC, d’autres solutions logicielles sont développées et proposées par Ellistat qui vise l’excellence opérationnelle dans toutes les étapes de la production.  

Il s’agit du module SPC -Statistical Process Control- pour maîtriser la production en temps réel, du module CES -Contrôle par Échantillonnage Statistique- pour la réduction du nombre de contrôles, du module SI -Statistiques Industrielles- pour l’analyse des données en 2 clics. Enfin, le module elearning est une offre de formations pour développer le savoir-faire autour du Lean, du Six Sigma et des outils qualité. Elles sont conçues pour être accessibles à tout public, même lorsqu’il s’agit de statistiques.

Cinq ans après sa création, Ellistat compte une cinquantaine d’entreprises (secteurs horlogerie, automobile, médical, sous-traitance mécanique) équipées de sa solution APC en France et en Suisse. Avec pour objectif la conquête de marchés à l’international, les premières ventes ont été réalisées en Italie, prochainement en Allemagne.

L’ADN d’Ellistat est basé sur des valeurs liées à l’humain, à l’écologie et à la culture de la réussite.

Depuis 2017, l’équipe s’est étoffée. Elle est passée de 10 à 20 personnes entre 2021 et 2022. La moyenne d’âge est d’environ 28 ans, l’effectif est découpé en trois blocs – développement – commercial – R&D.

Davy Pillet explique : « Fin 2018, l’équipe cœur d’Ellistat comprenait 4 personnes. Nous étions très proches et la communication était aisée car nous partagions le même bureau. Par la suite, je me suis demandé comment grandir en gardant le même esprit. L’idée était de recruter de nouvelles personnes tout en conservant des perspectives d’évolutions et de vraies responsabilités pour les plus anciens. »

C’est pour cela qu’Ellistat a opté pour le management distribué. L’objectif est à la fois de confier à chacun des responsabilités (rôles) qui correspondent à son niveau actuel et de donner de la vision sur les possibilités d’évolution.  « Il n’y a pas un manager pour 8 personnes mais 20 rôles pour 8 personnes, commente Davy Pillet. Ce qui permet à chacun de pouvoir prendre des responsabilités et d’être reconnu sans avoir à justifier d’être meilleur que ses collègues. Il est ainsi beaucoup plus facile de se reconnaitre dans son travail et d’y trouver sa raison d’être. La hiérarchie continue d’exister, il y a toujours des managers, mais dans un cadre comme celui-ci, le manager devient un rôle et non une fonction. » Et Davy Pillet de conclure : « Chez Ellistat, nous avons la culture de la réussite et nous visons toujours l’excellence. Je suis fier de l’évolution de notre solution APC, des développements qui ont été réalisés, et ce n’est que le début. »

Paré pour l’été avec Mewa

Des vêtements légers pour des travaux physiques en pleine chaleur
MEWA propose des pantalons de travail aérés et légers dans ses collections de vêtements professionnels DYNAMIC Construct, DYNAMIC Industry ou MEWA Move, sans oublier son grand choix assorti de chemises et de polos MEWA BASICS. Pour toutes les tâches en extérieur ou dans un atelier surchauffé, la demande s’oriente maintenant vers des matériaux légers, respirants et de grande qualité. En été, en plein soleil, la question ne se pose plus. Un collaborateur, qui fournit un travail physique, doit être vêtu en fonction du climat et profiter d’un maximum de fraîcheur.
Un pantalon de travail léger adapté à de nombreux usages
Les pantalons de travail MEWA s’adaptent à chaque saison. Ils se permettent d’être à la mode, surtout en été lorsque les collaborateurs sont visibles à l’extérieur. Ces vêtements, composés de différentes matières, s’avèrent aérés, légers, fonctionnels et solides. Ils conviennent particulièrement aux entreprises du bâtiment, aux garages automobiles et à tous les métiers de l’artisanat comme les électriciens, les peintres ou les menuisiers. Inspirés des vêtements de sports de plein air, les pantalons
de travail MEWA se révèlent pratiques et uniques, tout comme ceux qui les portent. Ils garantissent également une grande liberté de mouvement. Leurs nombreuses poches offrent un maximum de place pour les outils et les objets personnels. Enfin, leur coupe ergonomique apporte un grand confort pendant une longue journée de travail.
Chemises & polos : quand le style rencontre la haute technologie
À l’époque, Marlon Brando attirait tous les regards avec ses fameux tee-shirts moulants. Mais pour tous ceux qui apprécient la légèreté sans pour autant jouer des muscles, les divers tee-shirts, polos, sweatshirts et chemises de la collection MEWA BASICS sont parfaits. Vêtements polyvalents confortables ou compléments aux vêtements de travail, les vêtements populaires MEWA BASICS ont une chose en commun : ils sont fonctionnels et particulièrement confortables. En mélange de coton haut de gamme, doux sur la peau, ils offrent une sensation corporelle fraîche et agréable, même à des températures élevées. Ces vêtements attirent vraiment l’œil au travail ou pendant les loisirs. MEWA propose différentes coupes, 18 couleurs à la mode, avec ou sans poche de poitrine. Très tendances, les nouveaux polos MEWA BASICS AIR apportent un concentré de technologie aux collaborateurs.
Leurs tissus innovants, sportifs, élégants et thermorégulateurs garantissent en effet une respirabilité accrue et retardent l’apparition de la transpiration.
Une tenue de travail quotidienne élégante
Afin de disposer de vêtements frais et propres chaque jour, les vêtements de travail de MEWA sont disponibles en service de location et service complet. Ce service comprend le ramassage, l’entretien, le remplacement et une nouvelle livraison. Ce système éprouvé offre un gain de temps précieux concernant l’achat, le lavage, l’entretien et la réparation des vêtements. Les entreprises ne s’occupent plus de rien !
En fin de journée, tout le monde constate que la chaleur estivale peut être très fatigante. Toutefois, avec les chemises et les pantalons de travail légers de MEWA, même le travail le plus dur semble plus facile. Ces vêtements adaptés permettent à tout artisan d’être encore parfaitement présentable même après une longue et chaude journée de travail. Le poste de travail se transforme presque en un podium de mode !

La boîte qui recycle pour de vrai s’agrandit

Devant le succès rencontré, cette solution a été démultipliée sur de nombreux territoires et dans de multiples entreprises.

En avril 2021, Plaxtil a lancé la « Boîte qui Recycle pour de Vrai » pour permettre la généralisation du recyclage des masques tout en renvoyant des objets fabriqués à partir des masques recyclés.

À ce jour, plus de 25 millions de masques ont été recyclés par Plaxtil !

Désormais, Plaxtil élargit sa solution et la « Boîte qui Recycle pour de Vrai » permet maintenant de recycler :

  • Les Haillons et les Guenilles ;
  • Les Équipements de Protection Individuels (EPI) jetables

Une solution simple et efficace pour lutter contre l’impact écologique des déchets

Au-delà des masques (chirurgicaux, FFP2, Tissus, etc.), La Boîte qui Recycle pour de Vrai s’attaque à présent à 2 autres types de déchets pour en finir avec la pollution liée aux :

Guenilles ou haillons

Il s’agit de tous les vêtements troués et déchirés. Ces très vieux textiles, surtout lorsqu’ils sont trop usés pour être revendus, ne trouvent pas de débouchés en France. Ils finissent systématiquement incinérés, enfouis… Pire, ils sont régulièrement exportés vers les pays en voie de développement où, dès leur arrivée, ils polluent les sols, les mers et les océans.

Plaxtil a donc décidé de proposer la seule solution circulaire, écologique et solidaire apportant une vraie réponse à ce fléau lié à la surconsommation textile !

EPI jetables (masques, blouses, gants, sur-chaussures, charlottes)

L’usage des Équipements de Protection Individuels jetables se développe de façon continue dans tous les établissements de santé, les industries pharmaceutiques, agroalimentaires et bien d’autres endroits.

La pandémie liée au COVID 19 a accentué ces pratiques en multipliant les changements de tenues plus régulièrement. Rien qu’en France, le marché estimé de ces équipements dépasse le milliard d’euros chaque année.

Seul problème : ces équipements finissent systématiquement à la poubelle après une seule utilisation, afin d’être incinérés ou enfouis.

Là encore, Plaxtil propose une solution concrète et complète pour diminuer l’impact écologique de ces EPI à usage unique.

Transformer les déchets en objets : upcycler pour protéger la planète

Tous les acteurs privés ou publics qui consomment des EPI et qui ont des déchets textiles inutilisables peuvent agir concrètement pour protéger l’environnement :

  • Établissements de santé : CHU, Cliniques, EHPAD, Maisons de repos, cabinets libéraux, etc. ;
  • Industriels : Pharmaceutique, Agroalimentaire, Salles blanches, etc. ;
  • Professionnels du tourisme, de la restauration, de l’équipement, du sport, etc. ;
  • Collectivités : mairies, département, région, etc. ;
  • Et tous ceux qui veulent limiter la pollution textile et la pollution des plastiques à usage unique !

Grâce à Plaxtil et à La Boîte qui Recycle pour de Vrai, tous les déchets récupérés sont transformés en objets qui sont ensuite retournés au client.

Une opération circulaire, écologique et solidaire qui est tangible et visible par tous : les objets en retour sont la preuve du recyclage.

Avec, en prime, la possibilité de choisir plusieurs packs d’objets (plus de 20 disponibles) parmi les protections sanitaires (attache-masque personnalisable, ouvre-porte petit et grand modèle), les objets de bureau (kit de géométrie, bac à bec empilable, pot à crayon), les produits d’hygiène & de santé (économiseur de tube), les cintres (plat, grande taille et enfant) & accessoires de rangementpersonnalisables, les supports de téléphone, les cendriers de plage, et les loisirs (support de cartes à jouer, support photo).

Concrètement, comment ça marche ?

Le concept est très simple :

Première étape : se rendre sur le site www.plaxtil.com (bouton « Shop ») ou sur le site www.essaimons.com

Les particuliers, les entreprises et les administrations profitent de la simplicité d’un processus 100% en ligne de A à Z (commande, paiement, émission de facture). Le site accepte les paiements par CB, virement ou mandat administratif.

Une fois le paiement enregistré, Essaimons envoie une boîte vide à l’adresse du client. Pour toute demande spécifique, les clients peuvent appeler le : 06 73 02 11 50.

Deuxième étape : installer la boîte et commencer à la remplir

La boîte est expédiée au plus tard 3 jours ouvrés après la commande. Elle est très facile à installer, le mieux étant de la positionner dans un endroit de passage ou de récupération des déchets.

En carton, elle ne convient donc pas à un usage en extérieur. Attention : la boite de collecte sert également pour le transport retour.

Troisième étape : fermer la boite de recyclage et la déposer dans un point Mondial Relay

Quand elle est pleine, la boîte doit être fermée comme indiqué sur le haut du carton. Une étiquette de retour doit être imprimée sur le site http://www.tnt.fr/client/ramplaxtil/edition/ en indiquant bien la référence client (numéro de commande). Cette étiquette est collée sur la boîte fermée, qui est ensuite déposée dans un point Mondial Relay.

Quatrième étape : recevoir les objets en retour

Après réception de la boîte dans les services d’Essaimons, les déchets sont triés, préparés et recyclés. La matière obtenue est ensuite injectée pour faire les objets demandés par le client. Ces derniers seront retournés chez le client par colis séparé.

La Boîte qui Recycle pour de Vrai, combien ça coûte ?

    « Notre objectif : proposer au plus grand nombre la solution Plaxtil pour recycler les haillons, les guenilles, les EPI et les masques. »

Lorsqu’un client achète une « Boîte qui Recycle pour de Vrai », il achète bien plus qu’un carton, à savoir :

  • L’envoi de la boite vide et le retour de la boîte pleine ;
  • Le tri et la préparation des déchets réalisés par une ESS, entreprise d’insertion ou adaptée au travail des personnes handicapées ;
  • La transformation des déchets en matière Plaxtil recyclable ;
  • La fabrication des objets avec cette matière ;
  • L’expédition de ces objets en retour.

Une « Boîte qui Recycle pour de Vrai » peut contenir + de 500 EPI ou 5 kg de guenilles.

Prix : 80 € HT – 96 € TTC.

Toutes les opérations de « La Boîte qui Recycle Pour de Vrai » sont réalisées en France avec un taux de TVA applicable de 20 %. Les tarifs sont dégressifs à partir de 3 boîtes commandées.

Soutenir la solidarité et la création d’emplois

    « 100 boîtes vendues correspondent à un poste équivalent temps plein en insertion. »

Deux entreprises de l’Économie Sociale et Solidaire (insertion ou adaptée) interviennent dans le processus : Essaimons, une entreprise d’insertion qui prône le commerce équitable, et l’ANRH (l’association nationale de réinsertion des handicapés par le travail).

Le taux de marge appliqué par chaque intervenant sur ses opérations est équitable, c’est-à-dire qu’il permet de développer l’entreprise sans chercher de performance financière.

OPEN MIND présente hyperMILL® 2022.1

hyperMILL® fournit des technologies innovantes pour l’usinage du 2,5 axes à l’usinage 5 axes simultanés, la fabrication additive et l’automatisation. hyperMILL® VIRTUAL Machining joue un rôle central dans l’optimisation des processus. Il simule et optimise les opérations d’usinage à l’aide d’un jumeau numérique, en tenant compte de la cinématique de chaque machine

hyperMILL® V2022-1  La solution FAO est encore plus puissante

Plus de fonctionnalités, des stratégies optimisées, des évolutions importantes : OPEN MIND a enrichi son logiciel FAO hyperMILL® pour une programmation CN indépendante de la machine et du contrôleur. Il s’agit notamment d’optimisations pour hyperMILL® VIRTUAL Machining, d‘évolutions des stratégies 5 axes pour de meilleurs résultats en termes de qualité de surface, de nouvelles options au niveau des fonctions 2D ainsi que d’innovations efficaces dans le domaine de la fabrication d’électrodes, pour une programmation encore plus aisée et plus rapide.

hyperMILL® VIRTUAL Machining – La fusion transparente des mondes virtuel et réel

Un système intégré tout-en-un au lieu de différentes solutions logicielles : avec hyperMILL® VIRTUAL Machining, OPEN MIND comble le fossé entre le système FAO et l’environnement réel de la machine. Il identifie virtuellement toutes les étapes du processus de fabrication, autorisant ainsi aux usineurs un contrôle absolu. Cela comprend la programmation, la génération et l’optimisation du code CN, ainsi que la simulation du code CN et la mise en réseau avec la machine.

Pour fusionner les mondes virtuel et réel, OPEN MIND a doté hyperMILL® VIRTUAL Machining de trois modules qui constituent le cœur de la solution sécurisée de simulation de l’éditeur. Dans le module « Center », les situations d’usinage réelles sont reproduites virtuellement avec la machine et le contrôleur, et simulées sur la base du code CN. Dans le module « Optimizer », des algorithmes d’optimisation performants assurent un usinage multiaxes efficace. La meilleure orientation pour un usinage parfait est automatiquement définie. Le module « CONNECTED Machining » permet une mise en réseau et une synchronisation poussées avec la machine.

hyperMILL® BEST FIT – Orientation intelligente des pièces sur simple clic de souris

Un autre outil permettant d’accroître l’efficacité et la rentabilité de l’usinage est l’orientation intelligente des pièces dans la FAO en temps réel. Avec hyperMILL® BEST FIT, OPEN MIND révolutionne la préparation des opérations d’usinage. Au lieu de devoir orienter manuellement la pièce brute dans son bridage d’après le programme CN, le système FAO hyperMILL® adapte automatiquement le programme CN en fonction de la position des pièces. Ce procédé économise du temps et augmente la sécurité du processus. Cela vaut spécialement pour les bruts moulés, forgés, soudés ou obtenus en fabrication additive, avec des surépaisseurs faibles ou irrégulières ainsi que pour les retouches de pièces traitées thermiquement et lors de changements de machine : tous ces processus requièrent beaucoup de précision afin de les mettre en concordance avec le modèle CAO de la pièce finie.

hyperMILL® ADDITIVE Manufacturing  Exploiter tout le potentiel de la fabrication additive avec hyperMILL®

Avec hyperMILL® ADDITIVE Manufacturing, la solution logicielle hyperMILL® permet de réaliser un processus hybride efficace combinant un usinage additif et soustractif sur une même machine. hyperMILL® ADDITIVE Manufacturing ouvre aux procédés DED (Direct Energy Deposition) et WAAM (Wire Arc Additive Manufacturing) les possibilités d’un usinage simultané 5 axes très complexe. Le logiciel d’OPEN MIND permet de programmer aisément aussi bien les têtes laser avec buses d’injection de poudre que le soudage à l’arc pour le rechargement ponctuel des matériaux. En outre, l’utilisateur peut effectuer une simulation automatique de ces tâches pour la prévention des collisions.

hyperMILL® permet également d’exploiter pleinement les potentiels de la fabrication additive avec le procédé de fusion sur lit de poudre (Powder Bed Fusion, PBF). L’utilisateur peut avoir recours à l’usinage de reprise via le procédé d’usinage 5 axes pour corriger les pièces d’impression 3D n’offrant pas la précision souhaitée ou pour retirer des structures de support. Même les zones difficiles d’accès sont usinées en toute sécurité avec hyperMILL®. En tant que composant intégral de la chaîne de processus, le système CAO/FAO d’OPEN MIND prend en charge cet usinage de reprise : les pièces imprimées sont analysées, usinées sur mesure et contrôlées.

Mais le spécialiste de la FAO OPEN MIND ne s’arrête pas là dans la réalisation de chaînes de processus intégrées. Dans le cadre des processus de fabrication hybride (Hybrid Manufacturing), les procédés de fabrication additive et soustractive sont combinés dans une machine-outil. Avec l’aide d’hyperMILL®, l’utilisateur est désormais en mesure de programmer ensemble le rechargement par soudage et le fraisage. Une simulation précise de l’enlèvement et du rechargement ainsi qu’une gestion du brut entre les différentes étapes d’usinage garantissent une sécurité de processus maximale.

Des exemples dusinage pour démontrer les fonctions

Parallèlement à des démonstrations en direct sur des postes de travail, l’équipe d’OPEN MIND France présentera des exemples d’usinage afin de montrer le large éventail de fonctions que le logiciel a à offrir.

Guider les câbles de façon optimale avec les chaînes porte-câbles norelem

Grâce à la simplicité de sélection des modèles et à la flexibilité des choix de conception, les ingénieurs disposent d’un choix encore plus large lorsqu’il s’agit de faire passer des câbles et des tuyaux dans des applications allant des machines-outils CNC et des équipements d’emballage aux systèmes d’entreposage en hauteur. Les chaînes porte-câbles de norelem sont construites de manière modulaire et peuvent donc être rapidement et facilement raccourcies ou étendues.


Facile à installer avec des ergots enfichables préinstallés, la gamme de chaînes porte-câbles norelem propose des maillons qui peuvent être ouverts individuellement, ce qui simplifie encore plus le passage des câbles et des tuyaux. Si plusieurs câbles sont posés dans la chaîne, des guides seront parfaits pour les séparer.
Les chaînes norelem sont disponibles dans une gamme de hauteurs intérieures de 12 à 45 mm, ainsi que dans des largeurs intérieures allant jusqu’à 200 mm et dans différents rayons de courbure. Le plastique est également résistant aux UV et convient donc aux applications extérieures. En standard, les chaînes porte-câbles sont préchargées afin d’obtenir la longueur autoportée maximale. La précharge produit une cambrure dans la partie supérieure de la longueur autoportée et fournit également une grande rigidité en torsion qui protège les câbles et les fils.


La nouvelle gamme en plastique vient compléter les nombreuses versions et accessoires disponibles par le biais de THE BIG GREN BOOK de norelem, comprenant également des supports de montage garantissant une fixation fiable des chaînes porte-câbles une fois installées et des solutions de décharge de tension.
Marcus Schneck, PDG de norelem, a déclaré : « Les chaînes porte-câbles sont utilisées quotidiennement dans des applications industrielles pour transporter et guider l’énergie vers les parties mobiles des machines ou des structures. Il faut veiller à ce que ces câbles et connexions restent protégés, faciles à installer et à
entretenir. Notre gamme de chaînes porte-câbles est facilement disponible pour assurer le bon fonctionnement des systèmes de transmission d’énergie, en toute sécurité et efficacité. »

Les ingénieurs peuvent trouver les composants dans le catalogue général de norelem, THE BIG GREEN BOOK. Les fiches techniques et les fichiers CAO sont disponibles en ligne, et peuvent être commandés directement sur la boutique en ligne de norelem.

KIPP complète sa large gamme de sauterelles à levier

Les sauterelles KIPP sont robustes et de haute qualité, elles conviennent parfaitement aux applications dans le secteur de la construction de machines. Des versions en acier et en acier inoxydable sont disponibles. La large gamme se divise en trois catégories : les pinces horizontales, les pinces verticales et les pinces pushpull. Ces dernières se caractérisent par leur utilisation d’une seule main, le serrage des pièces s’effectuant selon le principe du levier basculant. Les versions avec un pied horizontal ou vertical permettent d’installer facilement la sauterelle en fonction des exigences de montage.


Sauterelle antistatique à levier vertical
Dans les environnements de production, les pièces, composants et appareils électriques et électroniques sensibles peuvent être endommagés voire détruits en raison d’une décharge électrostatique dans un environnement proche. Une décharge électrostatique est causée par des personnes ou par la manipulation de composants sensibles à ces décharges, par exemple lors de leur fabrication, montage, transport ou stockage. Les postes de travail dans les zones dites ESD (Electrostatic Discharge) doivent donc,
conformément à la norme DIN EN 61340-5-1, être entièrement équipés de composant qui éliminent les charges électriques. La gamme ESD a été spécialement développée par KIPP pour une protection maximale des éléments sensibles aux décharges électrostatiques. Les éléments de préhension et les coussinets de protection des sauterelles à levier ESD sécurisées K0660 sont fabriquées en polyamide ou en élastomère conducteur d’électricité, permettant au courant d‘ être relayé et dissipé par le cadre en acier.


Les capteurs d’états intelligents K1736 pour sauterelles
Les nouveaux capteurs d’état K1736 avec support sont utilisés pour vérifier l’état d’actionnement des sauterelles à levier : le capteur détecte si la sauterelle à levier est ouverte ou fermée et permet de traiter électroniquement cette information d’état. Le capteur est fixé à la sauterelle à levier au moyen du support.
Cette conception permet d’adapter facilement les sauterelles à un environnement de production intelligent.
Ces capteurs ont été développés dans le cadre de la série de composants intelligents FEATUREgrip, qui fournit des informations en temps réel afin rendre les processus de fabrication numérisés plus stables, plus précis et plus fiables.

L’Institut de Soudure conforte son dispositif de formation en alternance

À la rentrée de septembre 2022, l’Institut de Soudure propose plusieurs formations en alternance sur ses sites de Villepinte (93), Yutz (57) et Châlons-en-Champagne (51) pour une centaine de jeunes.
Après avoir formé plus de 50 jeunes durant l’année scolaire en cours, une centaine de jeunes pourront être accueillis à la rentrée prochaine pour des Mentions complémentaires en soudage ou en contrôle non destructif (CND), des titres professionnels Soudeur Assembleur industriel (SAI) ou Soudeur TIG et électrode enrobée (STEE) ou encore pour le titre pro CND.
Dans le cadre d’un partenariat avec l’université de Lorraine, le Groupe Institut de Soudure ouvre également à Villepinte sa seconde promotion de la licence professionnelle CND en alternance par voie d’apprentissage ou de contrat de professionnalisation. Riche d’une longue expérience de l’enseignement avec ses deux écoles supérieures de spécialisation en soudage, l’EAPS et l’ESSA à Yutz, l’Institut de Soudure peut ainsi former davantage de futurs managers, spécialistes et techniciens de haut niveau dans ses métiers de l’assemblage et des contrôles associés. Un engagement qui a permis cette année de répondre aux demandes de clients comme Air France ou EDF.


Depuis le 30 août 2019, l’Institut de Soudure est reconnu comme centre de formation d’apprentis (CFA).
Une reconnaissance qui permet à notre entreprise investie dans la formation depuis plus d’un siècle de répondre parfaitement à l’esprit de la loi Avenir Professionnel du 5 septembre 2018 sur les métiers en tension. Avec plus de 10 000 stagiaires formés chaque année dans son CFA et ses 18 centres de formation professionnelle, l’Institut de Soudure assure la montée en compétences de milliers de salariés pour répondre aux besoins de l’industrie française.


Acteur de l’insertion professionnelle
Le Groupe est aussi un acteur de l’insertion professionnelle. Près d’un tiers des stagiaires formés dans ses murs sont en recherche d’emploi et 90 % d’entre eux trouvent un emploi durable à l’issue de leur formation. Un chiffre impressionnant qui confirme sa reconnaissance comme un acteur majeur de l’insertion professionnelle.
Un fait illustré également par la réussite de ses formations en alternance lancés à la rentrée de septembre 2020. A la clé, des résultats exceptionnels avec 98 % de réussite aux examens, 80 % des stagiaires sont embauchés à l’issue de leur formation et 20 % poursuivent leurs études.


Une démarche qui s’inscrit dans l’ADN du Groupe
Cette démarche permet à l’Institut de Soudure, dont l’ambition est d’être apporteur de solutions, de proposer une offre globale de formation initiale, continue et par alternance, plus riche. Elle lui permet aussi de mieux accompagner ses donneurs d’ordre et de réaliser des formations sur mesure pour ses futurs collaborateurs et ses clients.

AddUp contribue à amener l’impression 3D métallique dans l’espace

Dans quelques mois, des pièces métalliques seront produites par une imprimante très spéciale. En effet, pour la première fois dans toute l’histoire, une machine sur-mesure sera installée à bord de la Station spatiale internationale (ISS), au sein du module Colombus et sera la première en son genre à pouvoir imprimer depuis l’espace.


Les partenaires de ce projet
Metal3D est un projet de grande envergure qui fait intervenir plusieurs entités. On retrouve l’ESA : l’Agence Spatiale Européenne, qui commande la mission et joue le rôle du client dans ce projet. Le pilotage du projet est assuré par les équipes d’Airbus Defence & Space à Toulouse. Leurs équipes assurent l’intégration des différentes
composantes de la machine, leur alimentation électrique ainsi que la conformité pour l’environnement spatial. L’Université de Cranfield est en charge de la source d’énergie et du mécanisme d’apport de matériau : dans le cas de « Metal3D » il s’agit d’un laser et d’un fil en acier inoxydable. La société Highftech s’occupe de fabriquer l’enceinte de la machine et d’y intégrer la gestion des fluides. AddUp réalise la structure interne et les mécanismes de la machine, ainsi que l’automate qui la contrôle et l’interface qui permet de communiquer avec le sol.
Alexandre Piaget, ingénieur R&D chez AddUp témoigne : “AddUp joue un rôle important dans la réalisation de cette mission mais son implication remonte à la phase d’avant-projet où il a fallu démontrer la faisabilité du projet. Cette première partie réalisée dans les locaux de Salon de Provence a construit les fondements de ce qu’est la
machine aujourd’hui. Dans sa version finale, AddUp est en charge des axes mobiles, des pièces de structures et du logiciel de la machine.


Plus précisément, sur le plan mécanique, les experts d’Addup ont conçu et fabriqué la structure interne de la machine, y compris toutes les pièces mobiles. Du côté logiciel, ils ont développé le programme d’automatisation de la machine, qui comprend des fonctions telle que la communication avec le sol (envoi de données, mesures, images, rapports, et exécution des commandes reçues de la Terre).


La mission : caractérisation du métal
La mission «Metal3D» est commandée par l’Agence spatiale européenne (ESA) en tant que démonstrateur technologique. L’objectif est de caractériser les propriétés mécaniques d’un matériau mis en forme en microgravité. Pour mener à bien cette expérience, deux lots d’éprouvettes sont produits par deux imprimantes identiques. Alors
que le premier lot sera produit à Toulouse en gravité terrestre, le second sera réalisé dans l’espace, plus précisément dans le module Columbus de l’ISS, en microgravité. Pour réaliser cette expérience, deux exemplaires identiques de machine d’impression 3D métallique ont été conçues et produites, afin d’être capables de fonctionner
dans les deux environnements. L’imprimante qui a été conçue pour cette mission sera donc la première à imprimer des pièces métalliques dans l’espace.


Le défi : la production en microgravité
En l’absence de gravité, la plupart des procédés actuels de fabrication additive ne sont plus utilisables. Soit parce qu’ils ne sont pas compatibles avec l’environnement spatial (l’utilisation de poudre fine est dangereuse dans la station spatiale), soit parce qu’il n’est pas possible de les mettre en œuvre simplement en microgravité (procédés dits lit de poudre par exemple). Pour rendre possible la fabrication en microgravité, les partenaires ont choisi d’utiliser un procédé qui favorise les forces induites par la tension de surface : il s’agit de la combinaison fil-laser (W-DED). Un laser sera utilisé comme source d’énergie et un fil d’acier inoxydable 316L comme matière première.
Le laser et le système d’alimentation en fil sont fixés dans le châssis de la machine, et la table d’impression est rendue mobile par 3 axes linéaires et 1 axe rotatif. La machine fonctionne sous azote afin de limiter l’oxydation du matériau et d’éviter les risques de combustion.
L’accès aux ressources étant limité dans l’ISS, l’atmosphère de la machine est filtrée et refroidie tout au long du processus de fabrication pour limiter la consommation d’azote et recycler au maximum celui déjà présent dans la machine.

La suite du projet
L’expédition de la machine sur l’ISS est prévue pour Février de l’année prochaine. Mais les suites du projet sont déjà en route : nous avons avec Airbus Defense and Space le projet de construire une machine inspirée de Metal3D qui permettra de continuer les développements sur cette technologie.
Les perspectives de l’impression 3D dans le contexte de l’exploration spatiale sont nombreuses.
On pense bien sûr à la fabrication et la réparation d’outils et de pièces, directement sur place et avec un matériau d’apport unique pour une grande variété de pièces.
C’est également la possibilité de concevoir des systèmes plus complexes, voire des habitats dans un contexte de base lunaire ou martienne