Sandvik Coromant ouvre trois nouveaux centres de productivité et d’innovation

Sandvik Coromant a été la première société de l’industrie transformatrice des métaux à ouvrir des Centres d’Applications. Il existe actuellement 17 Centres Sandvik Coromant en Europe, aux Amériques et en Asie. Ces centres font partie intégrante de l’expérience Sandvik Coromant en permettant aux clients d’accéder à une expérience pratique avec des machines à la pointe de la technologie sous la supervision d’un personnel qualifié.

Les clients travaillent avec des experts Sandvik Coromant qui comprennent aussi bien des spécialistes de la production manufacturière que des techniciens spécialisés dans le développement et les process et des programmeurs FAO pour développer de nouvelles manières de résoudre les difficultés d’usinage qu’ils rencontrent. Des démonstrations, des journées clients et des formations sont aussi organisées dans les Centres Sandvik Coromant.

Même si les Centres sont situés dans des régions géographiques particulières, les nouveaux Centres ont été conçus dans le souci des communications numériques. La pandémie de COVID-19 a motivé l’apparition de nouvelles manières de travailler à distance. Une étude de Mckinsey indique que 38% des entreprises interrogées prévoient de maintenir le télétravail deux jours ou plus par semaine à l’avenir, alors qu’elles n’étaient que 22% avant la pandémie.

C’est pour répondre à cette tendance que Sandvik Coromant a étudié de nouvelles manières d’interagir et de communiquer avec ses clients. Dans cette optique, les nouveaux Centres Sandvik Coromant feront aussi office de plateformes virtuelles pour des formations et des événements.

Leur infrastructure numérique facilitera de nombreuses opportunités de collaboration. Les Centres Sandvik Coromant et leurs partenaires industriels travaillent déjà ensemble dans le monde entier pour organiser des webinaires et des manifestations numériques consacrées aux grands problèmes de l’industrie manufacturière tels que la réduction des temps non productifs, les meilleurs pratiques en matière d’usinage ou encore le choix des meilleurs outils pour chaque tâche. Les trois nouveaux Centres de Renningen, Istanbul et Milan font partie de ce réseau.

« L’investissement dans trois nouveaux Centres Sandvik Coromant permet de favoriser l’innovation et la réussite au niveau local, et il vise aussi à encourager la collaboration entre tous les Centres », explique Helen Blomqvist, Président de Sandvik Coromant. « Ces investissements s’inscrivent dans le projet de croissance de Sandvik Coromant tout au long de la chaîne de valeur manufacturière en élargissant notre offre et notre portée. Nous adoptons cette approche en tant que service offert à nos clients et nos investissements visent à promouvoir l’excellence dans les solutions d’usinage avec un impact global. »

« Les nouveaux Centres Sandvik Coromant que nous ouvrons s’inscrivent dans cette stratégie en facilitant l’accès à un savoir-faire exclusif pour nos clients, que ce soit en présentiel ou à distance. Un petit investissement dans l’amélioration des compétences en usinage de votre personnel peut faire une grande différence pour la productivité de votre entreprise, car les connaissances sont aussi importantes que le choix des bons outils. Les clients peuvent s’adresser à Sandvik Coromant lorsqu’ils ont un problème à résoudre, et ils repartent avec une solution. »

Fin 2021, Sandvik Coromant ouvrira encore un nouveau Centre à Mebane, en Caroline-du-Nord, aux États-Unis.

Naval Group lance les premières commandes pour le programme de sous-marins nucléaires de troisième génération

Dans le cadre de la construction des quatre futurs SNLE 3G, Naval Group a signé ses premiers contrats d’approvisionnement avec différents fournisseurs impliqués, comme Framatome, Aubert et Duval, CNIM ou Industeel. Naval Group coordonnera les contributions de 200 entreprises françaises partenaires, établies dans l’ensemble de l’hexagone.
« Le programme SNLE 3G mobilisera plus de 200 entreprises, 400 compétences et 3 000 personnes, réparties sur l’ensemble du territoire. Ces quatre premiers contrats marquent les toutes premières étapes de la construction du premier sous-marin qui sera assemblé par Naval Group sur son site de Cherbourg et dont la première tôle sera découpée d’ici 2023. Ces contrats illustrent également des partenariats de longue date avec des entreprises sans qui ce projet ne serait pas possible », a déclaré Anne Bianchi, directrice du programme SNLE 3G au sein de Naval Group.
Bien que la mise en œuvre de ce programme se fasse sur le temps long, la construction du premier SNLE débutera en 2023 pour une livraison en 2035. Ainsi en mars 2021, Naval Group a conclu avec CNIM un contrat de cinq ans portant sur l’étude de la conception des tubes lance-missiles qui permettront au futur SNLE 3G de mettre en œuvre le missile M51. Un contrat de réalisation des tubes lance-missiles pour les quatre SNLE de troisième génération sera par la suite signé en 2025. Ce dernier, qui concerne les ateliers CNIM de La Seyne sur mer, matérialise la poursuite d’un partenariat avec cette entreprise qui remonte à la création de la force de dissuasion en 1961.
En mai dernier, Naval Group a également conclu deux contrats majeurs, impliquant le site Naval Group de Nantes-Indret, pour la fourniture d’une cinquantaine d’ébauches de chaufferies nucléaires. Elles seront réalisées sur les sites de forge de Firminy et Les Ancizes (Aubert et Duval)
et du Creusot (Framatome). Ces ébauches hautement technologiques représentent plus de trois années de travail. Après leur usinage sur le site de Nantes-Indret, ces pièces de métal massives, telles que le générateur de vapeur, deviendront les premiers composants de la chaufferie nucléaire des deux premiers sous-marins. Les commandes pour les deux derniers sous-marins interviendront après 2025.
Enfin, Naval Group a signé en juin 2021 avec la société Industeel un contrat portant sur la réalisation de six pièces métallurgiques de raccordement en acier à haute limite élastique. Fruit de 50 000 heures de travail, ces pièces techniques qui assureront l’interface entre les différentes sections du premier sous-marin de la série, seront réalisées à Industeel Saint Chamond avant d’être livrées entre 2023 et 2025. D’autres commandes suivront avant 2025.
La sélection de ces partenaires aux expertises reconnues contribuera à l’accroissement des capacités et des performances de ces futurs navires. Les SNLE 3G disposeront d’une grande discrétion et autonomie. La capacité d’emport de missiles balistiques M51 modernisés leur permettra d’être en permanence capables de mener une frappe nucléaire, depuis n’importe quel point des mers et océans.
Long de 140 mètres, le SNLE 3G compte parmi les produits industriels les plus complexes jamais réalisés. Le premier de cette nouvelle génération de sous-marins entrera en service opérationnel à l’horizon 2035. Ces sous-marins remplaceront progressivement les SNLE de deuxième génération, de la classe Le Triomphant, afin d’assurer la continuité de la posture de dissuasion nucléaire de la France.

LEBLANC SA et SOFAME reprennent ADR Usinage

Créée par Gilbert Leblanc en 1989 et basée dans le Cotentin, l’entreprise Leblanc SA est spécialisée dans l’usinage de précision.

Elle est reprise en 2012 par Arnaud Buret et son associé Nicolas Passaretti, tous deux salariés de l’entreprise et par ailleurs fondateur en 2013 de la société HP DECOUPE spécialisée en découpe jet d’eau. Historiquement ancrée dans les secteurs naval et nucléaire, l’entreprise entame une diversification sectorielle et réalise en 2020 un chiffre d’affaires de 2,8 millions d’euros pour un effectif de 19 salariés.

A l’écoute d’opportunités de croissance externe, Arnaud Buret et Nicolas Passaretti apprennent le départ en retraite des deux dirigeants d’ADR Usinage située à Saint-Désir. Ils se rapprochent de leur confrère Loïc Danneville, dirigeant de Sofame, pour réaliser l’acquisition d’ADR Usinage en avril 2021.

Cette entreprise affiche un chiffre d’affaires en progression depuis plusieurs années, qui s’élève à 2,5 millions d’euros en 2020. Elle offre en outre une complémentarité des savoir-faire et des clients, Leblanc SA et Sofame étant généralistes tous matériaux, chacun sur des secteurs distincts, tandis qu’ADR Usinage est spécialisée dans l’aluminium avec des clients dans l’aéronautique, l’électronique ou encore la compétition automobile. La présidence d’ADR Usinage est confiée à Arnaud Buret et la direction du site est assurée par Florian Gauquelin, issu du domaine de l’usinage dans l’automobile.

Objectif : poursuivre une diversification sectorielle déjà engagée depuis 2012

L’aéronautique figure au premier rang des secteurs ciblés. « Nous nous tenons prêts pour rebondir sur ce secteur lorsque les signaux seront au vert. A cette fin, nous avons obtenu notre certification EN 9100 en 2019 » souligne Arnaud Buret, Président de Leblanc SA et d’ADR Usinage.

Dans l’immédiat, la stratégie consiste à poursuivre le développement de chaque entité en conservant leur autonomie et leur effectif tout en mutualisant leurs activités pour proposer une offre de services étendue à leurs clients respectifs grâce à la complémentarité des savoir-faire et des matériaux travaillés.

Leblanc SA, ADR Usinage et Sofame seront d’ailleurs réunis sous la même bannière lors des salon Global Industrie en septembre puis Eurosatory en 2022. NAE se réjouit de cette action de consolidation, domaine dans lequel la filière démultiplie ses séminaires d’échanges, avec l’appui d’experts indépendants.

L’industrie de demain s’invente sur GLOBAL INDUSTRIE !

Une offre technologique mondiale
En tout juste deux éditions, Global Industrie s’est imposé comme l’un des tout premiers salons mondiaux consacrés à l’industrie. Son positionnement résolument moderne orienté à la fois vers l’industrie du futur et l’international explique le succès rencontré dès ses débuts à Paris en 2018 et qui n’a fait que s’amplifier à Lyon.
Global Industrie est le seul événement en France à couvrir l’ensemble de l’industrie, rassemblant à la fois :
• TOUT SON ÉCOSYSTÈME : start-ups, grands groupes, sous-traitants, fabricants d’équipements ou de solutions industrielles, pôles de compétitivité, centres de recherche, incubateurs…
• TOUTE SA CHAÎNE DE VALEUR : R&D, conception, production, maintenance, services, formation…
• TOUS SES MARCHÉS UTILISATEURS : transports, énergie, agroalimentaire, chimie, cosmétologie & pharmacie, mécanique…
L’ensemble des acteurs de l’industrie sont ainsi assurés d’y rencontrer leurs actuels et nouveaux partenaires et d’y trouver le produit, l’équipement, le savoir-faire ou la solution qu’ils recherchent, réalisant au passage un important gain de temps, d’investissement et d’efficacité.
Une gageure rendue possible par le rassemblement de 4 salons complémentaires leaders en leur domaine : MIDEST (sous-traitance industrielle), SMART INDUSTRIES (industrie connectée, collaborative et efficiente), INDUSTRIE (technologies et équipements de production) et TOLEXPO (solutions et équipements pour la tôlerie).
Nouveau en 2021
Global Industrie regroupe l’ensemble des filières industrielles : métal, plasturgie, caoutchouc et composites, électronique, industrie 4.0, matières premières, solutions environnementales, services & aménagement de l’entreprise.
Aussi, afin de clarifier son offre exhaustive et proposer une meilleure lisibilité tant à ses exposants qu’à ses visiteurs, le salon se réorganise avec la création de 15 grands univers regroupant à la fois les équipements, les savoir-faire, les matières premières et les machines.
Cette vision amont-aval reflète au plus près la richesse, l’exhaustivité et la pluralité de l’industrie tout en respectant les 4 grands salons constitutifs, chers au cœur des professionnels et qui, chacun, conservent leur identité propre.

Un grand rendez-vous international soutenu au plus haut niveau
Le monde de l’industrie ne s’y est pas trompé. Global Industrie, c’est ainsi :

  • 85 pays représentés par ses visiteurs
  • 40 % d’exposants étrangers venus de 40 pays
    Ce positionnement et ce rayonnement européen et mondial de premier plan expliquent l’adhésion et le soutien actif des plus hautes autorités politiques et institutionnelles, et des organisations socioprofessionnelles, dont bénéficie le salon. Il est ainsi placé sous le Haut Patronage de Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République et accueille nombre de ministres, d’élus, d’ambassadeurs et de représentants des plus grandes organisations
    professionnelles européennes du monde de l’industrie.
    Un soutien qui s’explique par les 4 grandes missions de Global Industrie :
    • Accompagner les femmes et les hommes vers de nouvelles compétences et leur ouvrir la voie vers de nouveaux métiers.
    • Valoriser l’image de l’industrie en France auprès du grand public et des jeunes en particulier.
    • Soutenir toute la communauté industrielle pour qu’elle s’engage au mieux vers l’industrie du futur.
    • Rayonner sur toute l’Europe pour redonner sa véritable place à l’industrie française.
    Une vitrine de l’innovation et une veille des tendances
    Tant par la variété et la qualité de ses exposants que par celles de ses animations qui permettent de voir, toucher et comprendre les innovations, les procédés industriels de pointe et les perspectives de l’industrie du futur, Global Industrie valorise et récompense les toutes dernières nouveautés et aide à mieux anticiper les transformations de l’industrie.
    Une occasion unique de réaliser, en un seul et même endroit, une veille des tendances et signaux émergents pour mieux anticiper les transformations de l’industrie.
    Une plateforme d’échanges
    Global Industrie favorise naturellement la création de partenariats ou d’alliances, le lien entre la recherche et l’industrie, les bonnes relations entre clients et fournisseurs, et la rencontre des jeunes talents avec les dirigeants d’entreprises et représentants des Ressources Humaines.

    Dans le sillage du Plan Relance du gouvernement, GLOBAL INDUSTRIE a mis en place dès janvier 2021 un programme audacieux sur le long terme : GI Booster de Relance.
    Le but : fédérer les acteurs de la filière pour dynamiser la relance économique industrielle française, grâce à un ensemble d’événements complémentaires conçus par les organisateurs de manière cohérente.
    Conséquence de cette initiative : la reprogrammation de GLOBAL INDUSTRIE Lyon, du 6 au 9 septembre 2021, à Eurexpo.
    « Je voudrais remercier l’organisation d’avoir décidé de reporter et non pas d’annuler GLOBAL INDUSTRIE […].Ce salon qui est depuis 2 ans le plus grand salon industriel de France doit avoir lieu[…]. L’industrie française, à laquelle j’attache tant d’importance, l’attend. » Bruno Le Maire, Ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance
    Une approche novatrice d’un média salon polymorphe
    Dès la sortie du premier confinement, GLOBAL INDUSTRIE avait innové en proposant le premier événement digital du salon, GLOBAL INDUSTRIE Connect. Aujourd’hui, dans la droite ligne de cette transformation, le programme GI Booster de Relance inaugure 5 grands événements accélérateurs
    de business, qui correspondent à 5 grands objectifs : s’inspirer, se rencontrer, se préparer, concrétiser et accompagner.
    S’inspirer avec GI 360
    Lancé dès le début de l’année 2021, GI360 est un programme bimestriel qui fera un état des lieux à 360° de la filière, le temps d’une émission axée autour de trois chapitres
  • un point de conjoncture, pour anticiper la reprise économique et
    industrielle, programmer les lancements et la production ;
  • un débat sur un sujet technique d’actualité pour détecter les technologies les plus adaptées
    à ses besoins ;
  • et une visite virtuelle à 360° chez un industriel pour mettre en avant les usines du futur et
    détecter de nouveaux partenaires.
    .
    Rencontrer avec GI Business Meetings
    Déclinaisons des rendez-vous d’affaires qui ont lieu sur le salon, les GI Business Meetings sont une série de rencontres « one to one » qualitatives entre des exposants et une sélection de décideurs cœur de cible de GLOBAL INDUSTRIE. En « physique » ou en digital, ils se tiennent sur une thématique donnée et dans une ville prédéfinie.

    En se déplaçant à travers le territoire national, les GI Business Meetings facilitent encore plus les échanges entre clients et fournisseurs. La thématique de chaque édition renforce la garantie d’un échange fructueux et la concrétisation de projets business.

    « GLOBAL INDUSTRIE a été créé pour défendre l’excellence industrielle de notre pays. La crise sanitaire que nous traversons est une opportunité pour GLOBAL INDUSTRIE de se réinventer pour mieux préparer l’avenir.
    Plus que jamais nous avons à cœur de remplir notre mission de facilitateur de business et d’accompagner de notre mieux l’ensemble de la filière dans cette période délicate.
    Aujourd’hui, GLOBAL INDUSTRIE n’est plus uniquement un rendez-vous annuel mais un nensemble d’événements complémentaires qui ont pour objectif d’accompagner le programme de relance de l’industrie française qui s’inscrit dans la durée. Pour assurer la pérennité de ce projet, nous n’avons pas hésité à reporter GLOBAL INDUSTRIE Lyon 2021 de mars à septembre.
    ». Sébastien Gillet, Directeur du salon
    Préparer avec GI Preview
    Événement 100 % digital permettant aux exposants et aux visiteurs de préparer leur salon, GI Preview se présente sous la forme de :
  • webinars exposants, temps de parole pour présenter ses produits, services ou solutions et faire la promotion de son entreprise avant le salon, annoncer ses nouveautés en avant-première ;
  • tables rondes réunissant institutionnels, partenaires et pionniers de l’industrie ;
  • chats interactifs pour dialoguer en direct, networker avec les prospects intéressés et fixer des rendez-vous physiques pendant le salon.

    Concrétiser avec le salon GLOBAL INDUSTRIE
    Parce que le monde des affaires a besoin de se rassembler pour partager, construire, nouer des contacts et concrétiser des projets, rien ne peut
    remplacer la rencontre « physique » et le plaisir qu’il y a à échanger avec un prospect, à signer un contrat sur un salon.

STILL en course pour l’automatisation…

« Quand l’automatisation de la logistique de production est bien conçue, la rentabilité de l’activité augmente fortement » explique Bruno Chambraud, Responsable du département Advanced Application chez STILL. La question n’est plus s’il faut automatiser ou pas, mais comment configurer une « solution idéale » avec le meilleur mix de gains : temps, argent, énergie et main-d’œuvre.
Un grand nombre de facteurs rentrent en ligne de compte, par exemple le choix des supports de charge, le type d’entrepôt, le type de zone tampon ou l’espace disponible en zone de production. C’est en étudiant tous les paramètres que la solution idéale d’automatisation pourra être trouvée.
Chariots élévateurs et appareils de magasinage automatisés : simple et facile
Dans un process manuel existant, les chariots frontaux et appareils de magasinage peuvent être automatisés facilement, avec un minimum de modifications, Ces appareils sont parfaitement adaptés pour optimiser la rentabilité d’infrastructures telle que des rayonnages ou des espaces de stockage au sol. « Nos solutions d’automatisation pour les appareils de magasinage montrent, dans ce domaine, tous leurs avantages, non seulement horizontalement, mais
aussi verticalement
», se félicite Bruno Chambraud. La solution d’automatisation basée sur les chariots élévateurs permet l’acheminement de supports de charge très différents, tels que des palettes ou des caisses grillagées, depuis l’entrepôt vers différents points de transfert en production.
L’automatisation de ces appareils s’avère également très rentable dans des activités 24/24 : on constate généralement un retour sur investissement (ROI) en moins de trois ans !
Navettes tortues : une solution d’automatisation très flexible
Les navettes tortues sont conçues dès le départ comme des véhicules de transport (AMR). Ces dispositifs sont très compacts et se glissent sous les supports de charges Grâce à leur mécanisme de levage intégré, ils peuvent transporter au niveau du sol des charges allant jusqu’à 1,5 tonne. Offrant la meilleure maniabilité, ils peuvent facilement atteindre la quasi-totalité des postes de production. Cette solution offre une grande accessibilité pour l’alimentation des produits à leurs utilisateurs. En effet grâce au très faible encombrement des navettes tortues, elles peuvent pénétrer profondément dans les zones de production, directement au contact de l’utilisateur final sur la chaîne de fabrication. Les dimensions ne dépassent pas celles des supports de charge.
Les navettes peuvent être utilisées pour effectuer des livraisons en juste à temps grâce à une optimisation dynamique des itinéraires automatiques enregistrés dans le système. Et ceci pour un coût très bas. « Avec les navettes, nous sommes dans des budgets nettement inférieurs à ceux d’un chariot élévateur, et a fortiori d’un train de remorques » se félicite Bruno Chambraud.
Systèmes de train de remorques : pour une optimisation accrue
Le train de remorques constitue la plate-forme d’excellence pour automatiser une logistique de production. Avec un système correctement planifié, un train de remorques en production peut opérer, en un seul passage, la livraison et l’enlèvement des supports de charge à chaque poste de sa tournée. Cela signifie que seulement trois trains de remorques suffisent pour traiter des flux qui, avec les deux autres systèmes, nécessiteraient jusqu’à 15 véhicules, provoquant un trafic à la fois important et omniprésent dans les locaux. Le transport groupé offre, dans cette optique, des avantages évidents. Cette solution nécessite des investissements plus conséquents dans le cas d’une automatisation complète. Mais le retour sur investissement est rapide si les flux traités sont importants.
Alors quelle solution choisir ?
À l’heure du bilan, laquelle des solutions est idéale pour automatiser une logistique de production ? Alors que le chariot élévateur automatisé se distingue clairement par sa souplesse et sa facilité d’implantation, les navettes tortues l’emportent haut la main en ce qui concerne les besoins en espace et en modularité. En revanche, en regroupant les transports, les trains de remorques excellent dans l’optimisation des processus de production en juste à temps, par exemple pour la desserte d’une production séquencée

Transport aérien : près de 40% des déplacements professionnels seront durablement remplacés par des visioconférences

Dans leur nouveau rapport, publié le 8 juin 2021, les chercheurs de la Chaire Pégase étudient l’impact de la crise du COVID-19 sur le comportement des voyageurs d’affaires en matière de déplacements aériens et de recours à la visioconférence.

A partir de l’analyse des réponses d’un échantillon national de 548 répondants représentatifs de la population des voyageurs d’affaires français, les chercheurs établissent :

  • Un portrait-robot des voyageurs d’affaires aériens français en 2019, soit juste avant l’arrivée du COVID-19
  • Une description de leur comportement en matière de transport aérien et de recours à la visioconférence au cours de l’année 2020
  • Une analyse de leurs intentions en termes de déplacements aériens et de visioconférence dans un futur à court terme (où les restrictions aux déplacements sont maintenues) et à long terme (en l’absence de toute restriction)

Une crise sanitaire qui fait évoluer les pratiques
Leur étude révèle que 72% des voyageurs d’affaires ont moins pris l’avion en 2020 qu’avant la crise. Tant que des restrictions aux déplacements seront mises en place, 70% des voyageurs d’affaires voleront moins qu’avant la crise. En revanche, une fois les restrictions levées, la baisse du trafic des voyageurs d’affaires devrait être de 42%.

Cette baisse du nombre de vols s’explique par l’explosion du recours à la visioconférence depuis 2020. Alors que 16% des voyageurs d’affaires faisaient régulièrement des visioconférences avant la crise, la quasi-totalité d’entre eux en ont réalisées depuis. Ainsi, 53% de leurs déplacements ont été remplacés par des visioconférences en 2020, un taux qui devrait baisser à 51% tant que les déplacements sont limités avant de se stabiliser à 38% lorsque tous les déplacements seront possibles.

Le rapport souligne enfin que tous les déplacements professionnels ne seront pas autant impactés par la visioconférence. Les voyageurs d’affaires ont plus tendance à maintenir leurs déplacements lorsqu’il s’agit d’interagir avec des parties prenantes externes comme dans le cadre de la prospection ou de salons professionnels. A l’inverse, les déplacements ayant un objectif interne à l’entreprise (comme du suivi de projet interne ou de la formation interne) auront plus tendance à être remplacés par des visioconférences.

France Relance : Mobilisation pour l’industrie en Occitanie

Mobilisation du réseau consulaire pour les entreprises d’Occitanie

Le gouvernement a engagé dès septembre 2020 le plan France Relance avec des moyens sans précédent pour soutenir l’économie, et l’investissement. Les entreprises industrielles, qui sont au cœur de l’emploi sur l’ensemble du territoire, sont particulièrement concernées avec près de 35 milliards d’euros pour décarboner notre industrie et accélérer notre transition écologique, relocaliser les secteurs critiques, et moderniser l’appareil productif pour préserver notre compétitivité et préparer le rebond.

Des appels à projets ont été lancés dans les secteurs stratégiques pour soutenir l’excellence française et sa résilience. Il s’agit de l’aéronautique, du nucléaire, de la santé, de l’automobile. Un accompagnement des projets stratégiques pour nos territoires, en priorité les territoires d’industrie est mis en place.
106 projets industriels créateurs d’emploi ont déjà été accompagnés. 126,5 millions d’euros d’aide vont ainsi permettre la réalisation d’investissements qui étaient prêts à démarrer mais étaient en recherche d’un financement.

Il s’agit par exemple de Microtec en Haute Garonne, entreprise qui travaille pour le spatial et l’aéronautique, et va pouvoir offrir à la filière des capacités de pointe aujourd’hui disponible seulement à l’étranger. D’ArcelorMittal en Lozère qui investit pour répondre aux besoins de la voiture électrique. De Ratier Figeac qui va transformer ses moyens de production pour les rendre plus durables.

Les CCI en première ligne pour accompagner les entreprises.

Acté en mars 2020 lors de la première réunion de la Cellule Régionale de Continuité Économique, le numéro vert unique mis en place a concrétisé le rôle d’interlocuteur de premier niveau des entreprises tenu par les CCI et répondant à une lettre de mission du Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance.

Longévité accrue avec les guidages linéaires NSK

En choisissant les guidages linéaires série DH/DS de NSK, les clients bénéficieront d’une longévité et d’une fiabilité supérieures, contribuant ainsi à des gains de productivité. En outre, la robustesse des nouveaux guidages linéaires est telle que les ingénieurs concepteurs peuvent réduire la taille des systèmes, de façon à diminuer à la fois le poids et le frottement, ainsi que la consommation d’énergie.
Parmi la multitude d’applications industrielles qui en bénéficieront, citons les machines de fabrication de semi-conducteurs et d’écrans LCD, les systèmes de convoyage automatisés, les équipements de production automobile, les machines-outils, les équipements sidérurgiques, les portes de quais de gare et les tomodensitomètres ; essentiellement tout équipement ou machine nécessitant des produits de mouvement linéaire à longévité accrue afin d’obtenir une fiabilité élevée et un fonctionnement stable à long terme.
Les guidages linéaires classiques NSK série NH/NS répondent aux besoins de fiabilité des clients en optimisant la répartition de pression sur la surface de contact entre les éléments roulants (billes) et les pistes de roulement. Cependant, de plus en plus d’entreprises s’orientant vers des usines intelligentes, les équipements doivent accroître la productivité en améliorant les temps de cycle, en fonctionnant 24 heures sur 24 et en consommant moins d’énergie, ce dans un format compact. Les guidages linéaires doivent par conséquent suivre le rythme en offrant une fiabilité supérieure et une longévité accrue ; un processus de réflexion qui a incité NSK à développer la nouvelle série DH/DS.
Les gains en termes de durée de vie sont dus en grande partie au matériau TF exclusif NSK et à une technologie de traitement thermique spéciale assurant aux guidages linéaires DH/DS une capacité de charge dynamique de premier plan. L’équipe d’experts R&D de NSK a développé et affiné la technologie TF au fil des ans. En fait, ce traitement thermique unique contrôle la quantité d’austénite retenue dans l’acier afin d’allonger sensiblement la durée de vie en fatigue de composants comme les guidages linéaires et les roulements.
NSK propose une vaste gamme de guidages linéaires DH/DS, tous interchangeables avec la série NH/NS classique. Parmi les options, figurent des joints d’étanchéité, des protecteurs et des unités de lubrification haute performance pour répondre aux exigences spécifiques des applications.

Des lavettes réutilisables pour une propreté impeccable

Les lavettes réutilisables font gagner du temps et de l’argent tout en améliorant l’image de l’entreprise
Grâce à la fourniture de lavettes réutilisables, MEWA contribue au bon fonctionnement des entreprises dans l’industrie et l’artisanat. Les lavettes permettent d’assurer le nettoyage et l’entretien des machines et des véhicules. Pour les petites et les grandes entreprises, le système de réutilisation
apporte un gain de temps et d’argent. Il correspond également parfaitement aux exigences croissantes de technicité de la production et aux nouvelles politiques environnementales des entreprises. Il contribue enfin à véhiculer une bonne image.
« Dès 1997, nous avons été la première entreprise de notre secteur à obtenir le certificat environnemental international d’après la norme ISO 14001. Nous sommes également membres de l’European Textile Services Association (ETSA). Cette organisation nous permet de veiller à un développement international respectueux de l’environnement. L’économie desressources naturelles et la réduction au strict minimum de notre impact environnemental sont d’ailleurs au cœur de nos préoccupations », explique Télesphore Loréal, Directeur de MEWA France.
Le service de lavettes MEWA et son système de location pratique
La lavette réutilisable en système de location MEWA contribue à la diminution des déchets. Très polyvalente, elle nettoie tout ce qui en a besoin dans une entreprise industrielle. Il existe des lavettes pour les grosses salissures comme l’huile, la graisse, la peinture ou les solvants ou bien des lavettes
pour le nettoyage en douceur des surfaces fragiles. La gamme offre un large spectre d’utilisations dans l’industrie, les ateliers automobiles ou les entreprises artisanales.
MEWA met systématiquement à disposition des entreprises un conteneur de sécurité approprié pour le stockage et le transport des lavettes. Elles peuvent y être conservées jusqu’à l’enlèvement, de manière sûre, règlementaire et sans perdre de place. Les lavettes propres sont livrées dans un autre conteneur SaCon fermé hermétiquement. Les lavettes sales sont ramenées dans les usines de MEWA, où elles seront lavées avant d’être à nouveau mises à disposition des clients.
« Choisir le service complet MEWA, c’est faire le choix d’un système éprouvé et fiable. Les entreprises disposent toujours au bon moment de la bonne quantité de lavettes propres. Elles produisent ainsi beaucoup moins de déchets et préservent de précieuses ressources. Le prix compétitif par rapport aux matériaux à usage unique est un autre point à ne pas négliger », se félicite Télésphore Loréal.

La Mécanique, une industrie de proximité au cœur de la transition écologique

C’est la raison pour laquelle la FIM publie aujourd’hui, au nom des industriels qu’elle représente, un Manifeste intitulé : « La Mécanique*, une industrie de proximité au cœur de la transition écologique ».
A ce document s’est ajouté dès mercredi 2 juin, la diffusion sur LinkedIn et Twitter d’une série de vidéos « stories » filmées par les industriels eux-mêmes sur les bonnes pratiques environnementales qu’ils mettent en place. Et ce, au rythme d’une vidéo par jour !
Une industrie de proximité qui mise sur le local
Pour les industriels de la Mécanique, très ancrés dans les territoires, l’un des principaux défis à venir concerne la baisse des émissions de gaz à effet de serre. Ainsi, en complément des bilans Carbone de leurs sites de production, les industriels développent la mesure de l’empreinte carbone de leurs produits. Cette démarche essentielle favorise le recours à des fournisseurs locaux et privilégie des productions nationales et européennes respectueuses des
normes environnementales les plus exigeantes. Ce dont les industries mécaniques, qui défendent depuis longtemps la mise en place d’une politique d’achats responsables, se réjouissent.
Les dirigeants d’entreprises sont aussi conscients du coût social et environnemental de leurs achats. Les produits ou équipements achetés à l’étranger, notamment en dehors de l’Union Européenne, qui apparaissent comme moins chers que leurs équivalents français, conduisent finalement à des dépenses d’installation, d’intégration, d’exploitation, de transport, sans compter les visites sur site pour qualifier et recevoir les équipements. En fixant des objectifs
intégrant les coûts complets, les acheteurs mettent en évidence le fait que le triptyque classique « coût-délai-qualité » doit s’enrichir des préoccupations environnementales et sociales, dans une logique « coût-délai-qualité-société ».
L’action collective est plus que jamais essentielle, dans un élan solidaire, pour que l’industrie française apporte à tous les Français des solutions concrètes pour protéger l’environnement. Pour que les Français soient fiers de leur industrie et que l’industrie affirme son rôle sociétal.
Découvrez ici les 8 premières vidéos « stories » diffusées dans le cadre de cette campagne :
#Recyclage
Cédric Sonrel, responsable HSE chez SEW Usocome, retraite les cartons propres, récupérés dans les usines de production, afin d’en faire des intercalaires pour ensuite emballer les moteurs.
#Energie renouvelable
Paul Amaro, directeur chez Ugivis, a installé il y a 3 ans un parc de panneaux photovoltaïques sur le toit de son usine ; il couvre environ 10 % des besoins énergétiques annuels.
#Remanufacturing
Cécile Pastor, responsable National Occasion chez Jungheinrich France, reconditionne le matériel d’occasion, ce qui réduit considérablement la consommation d’énergie et de matière première.
#Efficacité énergétique des bâtiments
Jean-Yves Renoud, vice-président de ARaymond, a construit les bâtiments de l’entreprise selon la certification volontaire LEED qui mesure l’efficacité énergétique et la qualité des espaces intérieurs des constructions.
#Economie circulaire
Gilles Widawski, président d’Oerlikon en France, reconditionne les pièces mécaniques, notamment dans les domaines aéronautique, médical, automobile, pour prolonger leur durée de vie.
#Economie d’énergie
Emmanuel Brugger, directeur général chez Cristel, utilise le flux d’air chaud qui sort des compresseurs de l’usine pour chauffer ses ateliers.
#Empreinte carbone
Anne-Sophie Cardinal, responsable de communication chez Rousseau, explique comment leur épareuse électrique sans batterie permet une baisse de consommation de carburant, d’émission de CO2, de pollution sonore et une réduction du coût de maintenance.
#Propreté des procédés
Henri Barré, directeur marketing chez Thirard a mis en place un système de filtration et de recyclage des huiles lors du process de fabrication de ses produits.