• Laserhub Gmbh, une plateforme numérique pour les pièces métalliques, vient d’annoncer qu’elle accueillait ses premiers sous-traitants en France. Laserhub opère sur le marché français depuis l’automne 2019, développant un portefeuille de clients locaux qui tirent parti de la simplicité de la plateforme pour commander des pièces auprès d’un réseau de fournisseurs allemands et autrichiens. L’entreprise entame maintenant une nouvelle phase avec le recrutement des premiers sous-traitants français qui pourront servir les clients localement des deux côtés de la frontière.
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  Même si la pandémie a touché la plupart des secteurs et que la hausse des prix des matières premières pour la métallurgie gagne du terrain, Laserhub n’a cessé de croître, car son réseau de partenaires permet de toujours trouver un fournisseur capable de répondre à toute commande passée sur la plateforme.
  Les producteurs français rejoindront un réseau de plus de 50 entreprises travaillant déjà avec Laserhub et fournissant des pièces pour des clients de toutes tailles, de la start-up à l’entreprise du Dax 30. Elles ont été sélectionnées une par une à travers un processus approfondi visant à évaluer leur expertise, leur capacité de production et leur équipement. Rejoindre Laserhub permet à ces entreprises de bénéficier d’un large éventail de clients, de gagner du temps sur les devis grâce au système automatisé, et de maximiser le temps de production de leurs équipements, ce qui se traduit
  par une augmentation des revenus et de la marge.
  
• « La France est un des pays leader dans l’industrie du métal, avec de nombreux producteurs de qualité et des entreprises clientes aux produits très créatifs qui passent commande sur la plateforme », explique Adrian Raidt, COO de Laserhub. « Nous sommes très fiers d’accueillir ces entreprises dans
  notre réseau, qui démontreront la force de notre concept et élargissent notre position sur le continent. Nous ferons de notre mieux pour que leur confiance en Laserhub soit bien placée, et de faire croître leurs chiffres d’affaires ».
  Grâce à ses plus de 50 fournisseurs, Laserhub sert plus de 5 000 clients, dont 400 sont basés en France. En 2020, 1 000 commandes venaient de ce marché.

La Vallée Centrale de Californie est une puissance agricole, responsable d’un quart des aliments produits aux États-Unis. Naturellement, la région fonctionne avec des tracteurs, des camions et de l’énergie hydraulique, et Clutch & Brake Xchange est l’un des fournisseurs les plus fiables de la région pour les pièces vitales que cette industrie exige. 

John Hitchcock a rejoint l’entreprise familiale en tant qu’apprenti machiniste il y a trois ans. « J’ai été chef cuisinier pendant 30 ans, mais j’ai dû arrêter car je ne supportais plus la pression. Rejoindre l’entreprise était l’idée de mon frère – je n’avais aucune idée de ce qu’était la FAO (Fabrication Assistée par Ordinateur), alors je me suis contenté de la suivre.” Il estime que le service clientèle réputé d’ESPRIT lui a permis d’effectuer sa transition professionnelle de la manière la plus harmonieuse possible. « Nous avons testé trois logiciels et analysé que le soutien d’ESPRIT CAM était supérieur à tout autre produit de FAO. Nous n’avons pas été déçus par le produit, le support ou le service ».

Dans l’atelier, John et le reste de l’équipe en charge du changement d’embrayage et de freins travaillent sur une Mazak Quick Turn 350MY, un centre d’usinage vertical Mazak VC-500C, une fraiseuse verticale Mazak VCN-570 et une Haas TL3.  Travaillant principalement avec de l’aluminium, de l’acier et de la fonte, John et son équipe utilisent ESPRIT pour reproduire des pièces obsolètes, comme des pièces de frein à came en S. Une came S est un élément indispensable du système de freinage d’un véhicule, le plus souvent des camions et autres machines lourdes. Une came en S est lié à un arbre à came qui peut mesurer jusqu’à 63 centimètres de long. Lorsque l’arbre tourne, il relie le sabot du frein au tambour pour créer une friction et ralentir le véhicule.

« Les transporteurs de poids lourds avaient besoin d’un nouveau type de cam S « , explique John. « Mon père, qui a commencé sa carrière comme chauffeur de camion et mécanicien de poids lourds, a reconnu qu’il y avait un vrai besoin pour les pièces de freinage. Sans ça, les camions devaient soit moderniser leur système de freinage, soit le convertir complètement, ce qui représentait une dépense importante. Ces remorques, dont beaucoup sont évaluées à plus de 80 000 euros, étaient essentiellement inutilisables en raison des directives de sécurité strictes définies par le DOT et les organismes de l’État américain. Cette pièce, came S était nécessaire pour maintenir ces remorques sur la route sans dépenses de modernisation supplémentaire. « J’ai été chargé de développer le programme pour ce projet. J’ai relevé le défi et j’ai fait appel à l’expertise de Spencer Hallin [ingénieur d’application ESPRIT]. J’ai rencontré Spencer à la conference ESPRIT World, et depuis, il est mon mentor et mon ami. Son soutien est parfait et inestimable », déclare John.

Spencer est très heureux d’aider Clutch & Brake Xchange. « John est un élève extrêmement réceptif qui s’efforce constamment d’améliorer ses compétences en matière de programmation et de fabrication. C’est un plaisir de travailler avec lui, et j’ai vraiment hâte de voir ce qu’il peut accomplir ». John est reconnaissant de la polyvalence du logiciel ESPRIT lorsqu’il s’agit de servir efficacement ses clients. « En consultant les ingénieurs d’ESPRIT, j’ai appris que ces pièces sont très complexes », dit John. « Il n’y a pas de modèle pour ce travail. Je dois faire de l’ingénierie CAO et FAO pour chaque nouvelle pièce came S, selon les spécifications. Je ne sais jamais quel type de commande va arriver ni combien il en faudra ».

Grâce en partie à ESPRIT, John a également pu s’attaquer à d’autres projets ambitieux. « Nous devions fabriquer un bouchon hydraulique à partir de billettes d’aluminium », dit-il. « Et nous voulions utiliser un outil pour deux opérations différentes afin de mener à bien le projet. Bien qu’il s’agisse d’un seul outil, nous avons dû programmer le logiciel pour « croire » qu’il s’agissait de deux outils différents provenant de la même poche pour fabriquer le produit. Troy Lewis a apporté sa contribution et son soutien, et en deux jours, nous l’avons fait fonctionner ».

John est optimiste quant à son rôle dans l’avenir de Clutch & Brake Xchange, et il est enthousiaste à l’idée de participer au développement de l’atelier. « Les pompes hydrauliques sont l’avenir », dit-il. « L’agriculture californienne fonctionne à l’aide de l’énergie hydraulique. Récemment, nous sommes devenus un centre de construction de Permco sur la côte ouest. Nous pouvons porter, fabriquer et tester en une journée. » Pas mal pour un chef de formation classique! « Je n’ai pas fait d’école d’ingénieur. Je n’ai pas de formation en usinage, et tout ce que j’ai appris, ca été avec l’aide d’ingénieurs d’application », explique John. « Grâce à ce soutien et à un produit étonnant, ESPRIT est vraiment le seul système de FAO dont vous aurez besoin« .

Prises de commandes // La demande augmente dans le monde entier dans toutes les industries
Le marché mondial des machines-outils a montré des signes de reprise au cours du 1 trimestre 2021. Chez DMG MORI, les commandes ont augmenté favorablement dans presque tous les secteurs. Les entrées de commandes ont atteint 589,8 millions d’euros et ont ainsi dépassé de +34% le trimestre de l’année précédente (440,2 millions d’euros).
DMG MORI a également enregistré un fort intérêt pour les produits d’automatisation globale et les solutions de numérisation de bout en bout.
Les commandes nationales ont atteint 174,6 millions d’euros (année précédente : 143,3 millions d’euros). Les commandes internationales s’établissent à 415,2 millions (année précédente : € 296,9 millions). La part des commandes export s’élève à 70% (année précédente : 67%).

Chiffre d’affaires // Activité de service influencée par la persistance des restrictions de voyage.
Au cours des trois premiers mois, le chiffre d’affaires a atteint 421,6 millions d’euros (-8 % ; année précédente : 458,0 millions d’euros). Ce recul s’explique notamment par la baisse du carnet de commandes en début d’année et par la poursuite des restrictions de voyage qui continuent d’influencer les activités de service. En outre, la reprise des entrées de commandes ne se reflétera dans le chiffre d’affaires qu’avec un certain retard. Le taux d’exportation s’est élevé à 68% (année précédente : 64%).

Collaborateurs // Fort esprit d’équipe chez DMG MORI
Au 31 mars 2021, le groupe comptait 6 642 employés, dont 223 stagiaires (31 décembre 2020 : 6,672). Les charges de personnel se sont élevées à 126,6 millions d’euros (année précédente : 141,0 millions d’euros).

Recherche et développement // Accent mis sur l’automatisation, la numérisation et la durabilité.
Les dépenses pour la recherche et le développement sont restées stables à un niveau élevé de € 16,3 millions, (année précédente : € 17,6 millions). Avec dynamisme et excellence, nous évoluons systématiquement d’un constructeur de machines à un fournisseur de solutions intégrées dans l’environnement de fabrication. L’accent est mis sur la triade stratégique de l’automatisation, de la numérisation et de la durabilité.
Chez DMG MORI, le leadership technologique et la durabilité vont de pair. DMG MORI est l’une des premières entreprises industrielles à avoir une « empreinte carbone des produits » neutre sur le plan climatique depuis janvier 2021.

Le DMG MORI Digital Event Pfronten a été un succès avec plus de 8 000 participants et trois premières mondiales.
trois premières mondiales. A la mi-février, DMG MORI a reçu le « Intelligent Manufacturing Award 2020 » de Microsoft pour CELOS Next.
– un prix prestigieux pour l’excellence numérique.

Prévisions 2021 // Expansion grâce aux innovations et aux investissements
L’année 2021 restera difficile. La reprise du marché est impactée au niveau mondial par la hausse des prix des matières premières,
des délais de livraison plus longs et un approvisionnement en matériaux plus difficile. La consommation mondiale de machines-outils devrait augmenter de 15,2 % pour atteindre 66,6 milliards d’euros en 2021 (prévisions d’octobre : +17,7 %) selon les dernières prévisions d’avril de l’Association des constructeurs allemands de machines-outils (VDW) et de l’institut de recherche économique britannique Oxford Economics.
DMG MORI aborde l’exercice 2021 avec confiance et s’attend à une reprise durable de la demande – à condition qu’il n’y ait pas d’effets significatifs des mutations corona. En raison de la bonne développement des affaires au 1 trimestre, nous relevons sensiblement les prévisions pour 2021 : Les entrées de commandes devraient désormais atteindre environ 2,0 milliards d’euros (précédemment : environ 1,7 milliard d’euros). Nous visons désormais
un chiffre d’affaires d’environ 1,8 milliard € (précédemment : environ 1,7 milliard €).
Au cours de l’année, nous nous concentrerons sur l’avenir avec de nouvelles innovations. Un exemple est la nouvelle fraiseuse universelle à 3 axes M1,
En outre, nous continuons à investir. En raison de l’importance croissante du marché chinois à croissance rapide, nous prévoyons de construire une usine de fabrication de pièces de rechange de 35 000 m2 de machines à 5 axes pour les machines à 5 axes à Pinghu, près de Shanghai, et de l’ouvrir à la fin de 2022.
L’investissement total d’environ 75 millions d’euros souligne les plans de croissance de DMG MORI en Chine. En raison de cette
Avec notre présence mondiale, nos offres de services étendues et nos solutions de numérisation, nous sommes prêts à démarrer à plein régime et nous renforçons les domaines stratégiques d’avenir que sont l’automatisation, la numérisation et la durabilité. en particulier. Notre présence mondiale, notre taille et notre force en tant que « Global One Company » nous offrent, ainsi qu’à nos clients, des avantages évidents !

La Fabrication Additive (FA) est identifiée comme une technologie clé pour les industriels, avec une croissance mondiale d’environ 20% par an. Les besoins en formation pour monter en compétences dans le domaine de la Fabrication Additive sont forts et les industriels peuvent avoir besoin d’accompagnement pour intégrer cette nouvelle technologie. La Normandie possède des compétences fortes autour de la Fabrication Additive avec un positionnement des acteurs sur plusieurs segments de la chaîne de valeur : conception du produit, élaboration de la matière, mise en œuvre, contrôle du produit et formation.

Fabrication Additive en Normandie – Lancement de la marque FAN

NAE, en partenariat avec CCI Normandie, Cosmetic Valley, NextMove, Normandie Energies, Normandie Maritime, Pôle ATEN – CMA Normandie et Pôle Pharma, structure la filière Fabrication Additive en Normandie.

FAN recense et regroupe l’ensemble des acteurs normands présents sur la chaîne de valeur :

-La matière (sous différentes formes)

-Les méthodes (avec l’ingénierie de conception et la maîtrise des procédés)

-Les moyens (avec des fabricants et revendeurs d’équipements et de logiciels)

-Les activités transverses, telles que le contrôle et la caractérisation, la R&D et les expérimentations, la formation et la normalisation.

Actuellement 20 industriels sont répertoriés sur l’ensemble du territoire. En effet, outre l’emblématique acteur normand de la FA qu’est Volum-e, la Normandie compte un écosystème très riche et qualitatif d’industriels dans ce domaine : 3D&G, 3DSens, 6NAPSE, Analyses & Surface, ArianeGroup, Arkema, CEVAA, COTRAL, Creative, Dedienne Multiplasturgy® Group, Expériences & Technologies, Francofil, IPC, Jusdeliens, Mallard SA, MSC Scanning, Normandy EcoSpace, Groupe PG, Polytechs, Volum-e. Cette cartographie va continuer à s’enrichir.

La Formation (initiale ou continue) se décline au travers d’une Académie « FAN » regroupant tous les acteurs de la formation du territoire normand abordant la Fabrication Additive : 3D&G, CESI, Creative,Groupe FuturComposé, Esitech Rouen, ESIX, Expériences et Technologies, INSA Rouen Normandie, Normandy EcoSpace, Polyvia Formation et Volum-e.

La R&D et les Expérimentations sont rendues possibles par la création de projets structurants pour la filière, mais également au travers des plateformes technologiques ouvertes à l’ensemble des acteurs industriels et académiques :

Francofil est spécialisée dans le développement de fils techniques pour impressions 3D sur mesure ;

Arkema est spécialisée sur le procédé SLS (fusion poudre polymère).

FAN a pour ambition de développer et ouvrir d’autres plateformes technologiques afin d’être en capacité de déployer plus facilement les usages de la FA sur les autres procédés métalliques (Cold Spray, fusion lit de poudre, dépôt de fil métallique, Binder jetting sable (pour de la fonderie). Enfin, FAN s’appuiera sur le réseau de Fabrication Additive au niveau national (France Additive) pour mutualiser certaines activités et développer le réseau régional.

À l’étranger, les commandes ont augmenté de 30,5 % par rapport à la période janvier–mars 2020.  La valeur absolue d’indice s’est fixée à 155.

« Les données de ce premier trimestre – a affirmé la présidente de l’UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE, Barbara Colombo, sont sans aucun doute positives et nous permettent de souffler après des mois de grande difficulté. Ceci dit, il faut bien réfléchir sur les augmentations enregistrées ; en effet elles sont comparées aux résultats obtenus dans une période – début de 2020, vraiment difficile. Effectivement depuis la fin de février nous avons dû faire face aux premières retombées de la pandémie internationale ».

« Le marché intérieur, qui nous semblait avoir repris avec des commandes déjà en fin d’année, réagit bien, grâce également aux mesures incitatives pour les investissements dans les nouvelles technologies de production, prévues par le Plan Transition 4.0. Les indications venant des marchés étrangers sont également positives bien que la reprise se présente à des vitesses différentes : Chine et États-Unis affichent une activité bien dynamique, alors que les pays de la zone Euro ne viennent que d’entamer cette tendance ».

« Le fait que le monde recommence à investir dans de nouvelles machines-outils et de nouveaux systèmes d’automation est sans aucun doute une excellente nouvelle, mais nous, les fabricants italiens, risquons de ne pas saisir les opportunités que certains marchés sont en mesure d’offrir juste maintenant, en raison de la persistance des restrictions sur la mobilité des personnes ».

C’est pourquoi – a poursuivi la présidente Barbara Colombo – compte tenu du positionnement temporel au dernier trimestre de l’année, période qui devrait raisonnablement coïncider avec le retour à la normale grâce à la vaccination de masse, EMO MILANO 2021, prévue du 4 au 9 octobre auprès de fieramilano Rho, sera un évènement encore plus important pour nous les constructeurs italiens (et pas seulement), à l’occasion duquel nous devrons profiter de toutes les opportunités offertes par un salon de ce calibre, qui revient en Italie après 6 ans et surtout après plus d’un an et demi d’arrêt forcé des salons internationaux ».

Les indications du marché, ainsi que l’état d’avancement de la campagne de vaccination, qui semble bien entamée en Italie aussi au cours de ces dernières semaines, laisse espérer une bonne réussite de l’EMO MILANO 2021, à l’occasion duquel les entreprises présenteront leur offre aux opérateurs de l’industrie manufacturière mondiale au rendez-vous à Milan.

À l’heure actuelle, l’évènement a déjà collecté des adhésions de 28 pays à travers le monde; les acteurs internationaux les plus importants ont d’ores et déjà confirmé leur participation, conscients de l’énorme potentiel commercial qu’offre l’évènement. Cependant, certaines entreprises préfèrent attendre pour confirmer leur participation, afin d’avoir de plus grandes certitudes quant aux modalités de déroulement du salon.

« C’est pourquoi, aux autorités gouvernementales – a conclu le président de l’UCIMU – nous demandons des informations claires et ponctuelles dans les plus brefs délais car, s’il est vrai que l’EMO MILANO 2021 est dans six mois, il est tout aussi vrai que l’organisation de la présence à un évènement de ce type doit être défini maintenant ».

Heidenhain propose le rétrofit de vos anciennes CN en s’adaptant à vos besoins grâce à un service personnalisé. De plus, sa gamme complète (commandes numériques, moteurs, codeurs et règles de mesure) de très haute qualité lui permet de garantir une synchronisation et une précision maximale.
Dans le secteur de la production industrielle, il est courant d’utiliser des machines anciennes, très couteuses et parfois très volumineuses. Le remplacement de ces machines, installées depuis plusieurs années et qui coutent plusieurs centaines de milliers d’euros, se révèle être un projet de grande envergure : au-delà des délais souvent conséquents, l’opération entraine aussi une mise à l’arrêt des productions ce qui a forcément des conséquences.

Dans ce cas, le rétrofit de commandes numériques est une bonne alternative pour faire renaitre un investissement passé. Il donne à l’atelier et aux machines-outils une seconde vie, pour un coût et un délai avantageux. D’autant que certaines commandes numériques rencontrent même une obsolescence face aux dernières versions de logiciels, ce qui peut entrainer une incapacité de faire des mises à jour ou de se connecter au réseau.

Acquérir une nouvelle commande numérique permet non seulement de prémunir l’atelier de cette obsolescence, mais aussi, lorsque la mécanique de la machine est compatible, de bénéficier de logiciels et d’options très utiles pour optimiser les processus d’usinage.
Le rétrofit offre également une grande souplesse pour analyser et résoudre les problèmes directement sur la CN grâce à la représentation 3D et la visualisation du parcours. En effet, les représentations graphiques en 3D sur les nouveaux écrans tactiles sont très fidèles, avec une prise en compte de la cinématique effective de la machine et des outils. Elles sont intuitives et faciles à manipuler et donnent une vue très proche de la pièce usinée, même sur des plans inclinés.

Pourquoi et quand procéder à un rétrofit ?
Il s’agit de moderniser son outil de travail en limitant les coûts d’investissement. Cela ouvre de nouvelles portes : usiner avec des nouvelles technologies, ajouter de nouvelles fonctionnalités ou accéder à un nouveau marché. À l’heure de l’industrie 4.0, il devient possible d’assurer un interfaçage et une connectivité totale entre la machine et le reste de l’entreprise, par des logiciels de pilotage de production ou de maintenance tel que StateMonitor. L’atelier dispose alors d’un outil de production aux standards actuels modernes : un atout indispensable pour ne pas se laisser distancer par la concurrence.

Il devient même envisageable d’utiliser les logiciels de FAO lors de l’usinage de surfaces en 3D complexes, comme par exemple pour la production de moules qui contiennent beaucoup de points à traiter. Au-delà de cela, le gain en temps d’usinage est réel, la lecture de blocs étant bien plus rapide sur une commande numérique récente L’entreprise s’assure une sécurisation des processus d’usinage grâce aux options anticollisions présentes sur des CN récentes, telle que l’option DCM disponible sur la TNC 640. Sans compter une augmentation de la durée de vie des outils : par exemple, l’option AFC, disponible sur les dernières commandes numériques Heidenhain, permet de réduire l’usure des outils en ajustant la charge de la broche avec les avances d’usinage.

Une interface attrayante pour les jeunes talents
Dans toutes les entreprises des secteurs de l’industrie, posséder une commande numérique moderne contribuera à attirer les talents des nouvelles générations qui prendront la relève. En effet, étant habitués à travailler avec la technologie, ils auront davantage envie de rejoindre une entreprise ayant du matériel au standard actuel pour l’utiliser au cours de leur carrière.

Flexibilité et polyvalence
La flexibilité et la polyvalence de la CN sont des atouts majeurs pour rester compétitif et gagner en autonomie. En effet, même si l’utilisation d’un logiciel de programmation FAO est courante aujourd’hui, avoir la possibilité de programmer des séquences en 2 et 3 axes directement sur la CN permet aux opérateurs de gagner du temps et de s’adapter aisément aux différentes situations.

Vitesse de calcul
Dans les applications en 5 axes, la CN doit traiter des centaines de milliers de points de données et doit les exécuter avec une très grande précision. Il est donc important, en plus d’avoir une machine avec une mécanique en bonne condition, qu’elle puisse traiter toutes ces données très rapidement et sans difficulté : on parle de temps de traitement en millisecondes.

La gamme de produits TOTAL PRESLIA est utilisée chaque année pour produire plus de 500 GW d’électricité dans le monde. Dans un secteur aussi dynamique que celui de la production d’énergie, il est essentiel de pouvoir compter sur un partenaire de confiance pour soutenir et
prolonger la durée de vie des équipements. Les lubrifiants pour turbines conçus par Total Lubrifiants sont parfaitement formulés pour les protéger dans les conditions d’utilisation les plus exigeantes tout en minimisant les dépôts. Les huiles TOTAL PRESLIA permettent d’allonger la durée de vie des machines et d’en réduire les coûts d’exploitation.
« Depuis 50 ans, nous sommes fiers de proposer les solutions les plus pertinentes pour la fiabilité et la performance des turbines, grâce aux échanges continus entre nos techniciens, les constructeurs et bien évidemment nos clients », note Olivier Bertomeu, Directeur Lubrifiants Industrie, « A 50 ans, cette gamme a tout l’avenir devant elle et continue à s’agrandir. Ainsi, notre nouveau produit, TOTAL PRESLIA EVO, offre une protection exceptionnelle contre les dépôts et vernis. Il permet de répondre au défi des technologies FLEX* nécessaire pour gérer la transition énergétique. L’aventure ne fait que commencer »
Avec de nombreux sites de production, une chaîne logistique mondiale et une présence commerciale dans plus de 130 pays, Total Lubrifiants est en mesure de répondre aux besoins des utilisateurs dans le monde entier. En outre, ses clients ont également accès à des services à forte valeur ajoutée, tels que le diagnostic d’huile et le remplissage des turbines directement sur les sites de production.
Grâce à son expérience dans de nombreux secteurs, comme par exemple le nucléaire, l’hydroélectricité, la biomasse, la géothermie, le solaire et les centrales électriques à combustibles fossiles, Total Lubrifiants, avec sa gamme TOTAL PRESLIA, dispose de produits homologués par les plus grands industriels.

*Technologies FLEX : turbines ayant des caractéristiques spécifiques adaptées à des cycles de démarrage / arrêts plus fréquents rendus nécessaires par un usage de ces turbines en appoint des productions d’énergie renouvelable par nature variables et périodiques.

Les très bons chiffres de notre rapport trimestriel ont suscité la
curiosité de beaucoup d’entre vous. Qu’est-ce qui se cache derrière
ces chiffres ? Qu’en est-il dans les coulisses et dans notre
quotidien ?
Dans la présente circulaire, je réponds à ces questions sans faire de
détour ni utiliser une seule fois les mots coronavirus, raté de la
pandémie, gestionnaires de la crise fédérale ou Laschetsöder.
J’entends suffisamment d’excuses chaque jour. Malheureusement,
de plus en plus auprès de nos fournisseurs.

Nous sommes donc déjà à la première pierre qui nous pend autour du cou : la raréfaction des
matières premières. Nos réservoirs sont vides. Nous vivons au jour
le jour et nous extrayons chaque goutte d’huile de nos tuyaux pour
continuer à fournir nos services. Force majeure – c’est la réponse
que reçoit notre service des achats lorsque nous demandons des
dates de livraison. Alors qu’auparavant nous transportions des
cargaisons de 5 000 tonnes de la mer du Nord à notre usine de
Saarhafen à Dillingen, nous parcourons désormais les routes de
campagne et les autoroutes avec des camions de 30 tonnes. C’est
non rentable, coûteux et pas du tout respectueux de l’environnement.
Matières premières, matériaux d’emballage, bidons et fûts,
fermetures, cartons et films. Il en manque à l’arrière et à l’avant.

Pour certains, le lockdown était manifestement un knockdown…. Les
agrandissements des usines et les réparations sont mis en veilleuse
car les ateliers et les entreprises de montage se plaignent également
d’un manque de pièces de rechange et de matériaux.
Qu’est-ce qu’il se passe ? Ce coude dans le tuyau
d’approvisionnement n’est certainement pas dû aux quelques
bateaux bloqués dans le canal de Suez pendant quelques jours. Je
pense plutôt que certaines entreprises préfèrent encore traîner sur le
canapé, s’adonner au télétravail et toucher des indemnités de
chômage partiel pour économiser des coûts plutôt que de retrousser
leurs manches. Nous sommes actuellement confrontés à des difficultés d’approvisionnement.
Et ce que nous réussissons à obtenir est devenu très cher. Une
explosion des prix a ébranlé notre rentabilité – il n’est pas rare que
nos fournisseurs augmentent les prix de 10 à 20 % « à partir de
demain »… Rien que pour nos achats de matériel à l’usine, nous
prévoyons un surcoût de 20 millions d’euros pour l’année en cours.

Bien entendu, nous essayons de répercuter cette hausse des coûts
sur les marchés en augmentant nos prix. Mais essayez de le faire
dans des pays dont l’économie est au plus bas et où l’inflation atteint des sommets.
À propos d’exportations, nous réalisons deux tiers de notre activité à
l’étranger. Dans environ 150 pays.
Savez-vous ce qu’il manque actuellement ? Des conteneurs
ordinaires. Tout le monde pense à la crise et il n’y a pas de
conteneurs maritimes, ni de possibilités de fret suffisantes. Tout est
complet. Tout est occupé, en haute mer entre l’Asie et l’Europe. La
crise ? Acheter jusqu’à l’épuisement. C’est comme ça. Nous
attendons parfois des semaines et des mois avant de recevoir à
nouveau des opportunités de fret pour nos activités d’exportation à
l’étranger – quelle que soit la destination. Ce n’est pas drôle.
En un mot : peu d’entrées à l’avant et peu de sorties à l’arrière. Au
milieu, nous travaillons en 3 équipes afin d’atteindre nos objectifs
malgré les circonstances défavorables, de rester sur la voie du
succès et de ne pas nous laisser abattre.

Je dis souvent : « La faiblesse de notre adversaire est notre force» Non seulement dans
le sport, mais aussi dans les affaires, vous êtes seulement aussi bon
que votre adversaire, la concurrence, vous permet de l’être. Mais
pour l’instant, nous ne sommes bons qu’en fonction de ce que nos
fournisseurs en amont rendent possible par un approvisionnement
fiable en marchandises…. Je n’aurais pas pensé que cela puisse se
reproduire. Quoi qu’il en soit, lorsqu’ on souffle jusqu’ à l’attaque et
que le réapprovisionnement est bloqué. Mais tant que nous ne
découvrirons pas de puits de pétrole à Ulm ou à Saarlouis, nous
devrons faire avec les circonstances et passer à autre chose.
Nous appelons cela la faculté de compensation de l’incompétence.
Un beau concept. J’ai lu ça quelque part l’autre jour. D’ailleurs, j’ai
entendu dire qu’il en allait de même dans le secteur de la
construction.https://liquimolyfrance.fr/

Fondée en 1854 et basée en France (Chasse-sur-Rhône – 38), CONDAT formule et fabrique une large gamme de lubrifiants. Sa mission : créer de la valeur ajoutée durable lors du processus de fabrication de ses clients et partenaires industriels. Multi spécialiste, le groupe bénéficie d’une renommée internationale grâce à des lubrifiants haute performance dédiés à de multiples applications : tréfilage, tunnels, forge, verre, usinage, traitement thermique, maintenance industrielle. Engagée pour une performance responsable, CONDAT développe des lubrifiants à l’impact environnemental réduit, sans faire de compromis ni sur leur performance ni sur la sécurité des utilisateurs. 

Comme CONDAT, KEMNO est une entreprise à capitaux familiaux. Créée en 2004 par la fratrie NOVATI, la société italienne est spécialisée dans la production d’huiles entières et solubles. Principalement active dans les secteurs de la frappe à froid, KEMNO propose également des fluides d’usinage, des huiles et graisses de maintenance, ainsi que des huiles de trempe. En s’appuyant sur des partenariats constants avec les fabricants d’équipement et les fournisseurs d’outillage, la gamme de lubrifiants KEMNO est devenue une référence sur le marché italien pour sa capacité à diminuer les consommations d’huile et à prolonger la durée de vie des outils.

Cette acquisition s’avère prometteuse et repose sur des valeurs solides communes aux deux entreprises : la satisfaction client, la performance et l’innovation. Ce rapprochement sera profitable aux deux entreprises. D’une part à KEMNO, en lui donnant de nouveaux moyens de se développer grâce à l’appui d’un groupe stable et international. D’autre part à CONDAT, en renforçant sa stratégie de diversification en Italie, notamment sur les marchés de la frappe et de l’usinage. D’importantes synergies seront à l’œuvre dans cette fusion.

Pour preuve de sa volonté à s’engager durablement dans cette opération, le groupe CONDAT a décidé de créer une filiale à 100%, nommée CONDAT ITALIA, suite à cette fusion. La nouvelle société garantira la continuité de service localement et une qualité optimale des produits. Les deux gammes étant complémentaires, les clients italiens bénéficieront ainsi d’un plus large choix de lubrifiants dédiés à leurs besoins spécifiques, quel que soit le domaine d’application. Ils pourront aussi compter sur un laboratoire R&D high-tech, une offre compétitive et fiable ainsi que sur de nombreux services complémentaires.

La communauté de la fabrication additive a montré un intérêt impressionnant pour l’édition inaugurale de Formnext + PM South China, qui se tiendra à Shenzhen du 9 au 11 septembre 2021. Associé à un vaste programme concomitant, le salon sera une plateforme de choix pour les acteurs de l’industrie, qui pourront y découvrir les dernières innovations et tendances technologiques des secteurs de la fabrication additive et de la métallurgie des poudres. La Chine a décidé de mettre les bouchées doubles sur ce secteur et investit aussi fortement en R&D. Si l’Empire du Milieu n’est pas encore à la pointe au niveau des machines de production, son offre dans les poudres utilisées ne cesse de croître.

En 2020, la pandémie mondiale a accéléré les efforts de fabrication intelligente et a inauguré l’adoption à long terme de solutions de production automatisées innovantes. Dans ce contexte, et compte tenu du fait que l’industrie manufacturière chinoise n’a cessé de croître au cours des années précédentes, le salon a attiré cette année de nombreux exposants internationaux et nationaux venus présenter leurs dernières innovations et produits aux acteurs du secteur. Le taux d’inscription prometteur reflète la confiance de l’industrie dans le salon en tant que lieu de rencontre clé pour l’approvisionnement en technologies de fabrication et de formage en Asie. Et alors que la situation en Chine continue de s’améliorer régulièrement après les effets de la pandémie, Formnext + PM South China jouera un rôle crucial en fournissant une plateforme indispensable pour stimuler davantage la croissance de l’industrie et faciliter les échanges commerciaux.

Parmi les principaux fournisseurs qui présenteront leurs matériaux, produits et solutions de fabrication additive, citons Artec 3D, Beijing E-Plus 3D Tech Co Ltd, EOS Electro Optical Systems (Shanghai) Co Ltd, Formlabs, Longyuan AFS Co Ltd, Peshing New Metal (Changzhou) Co Ltd, Phrozen Tech Co Ltd, Shenzhen Creality 3D Technology Co Ltd, Sino-Euro Materials Technologies of Xi’an Co Ltd, etc.

Un certain nombre d’exposants renommés dans le domaine de la métallurgie des poudres, qui présenteront leurs derniers produits et solutions, sont tout aussi impatients de participer au salon de 2021. Parmi les marques de métallurgie des poudres confirmées, citons Dongguan Cfine Machinery Technology Co Ltd, Dongguan Yutian Material Co Ltd, Feedtec Material Technology Co Ltd, Jiangxi Yuean Advanced Materials Co Ltd, Jilin Changyu Advanced Materials Co Ltd, Mei-Yang Technology Co Ltd, Ningbo Hiper Vacuum Technology Co Ltd, Qingdao Greenlong Machinery Co Ltd, Shenzhen Sanxing Feirong Machine Co Ltd, Tdg Machinery Technology Co Ltd, etc.

Formnext + PM South China réunit des intervenants influents pour partager les dernières idées et innovations de l’industrie.

Faisant partie intégrante de Formnext + PM South China, une série d’événements simultanés seront organisés pendant le salon, en présence de nombreux experts réputés de l’industrie de la fabrication et du formage, afin d’échanger des idées et de présenter les technologies qui font progresser le secteur. Des universitaires de haut niveau de toute la région de la Chine du Sud se réuniront et partageront des recherches et des innovations révolutionnaires, ainsi que des idées sur les tendances et les développements futurs de l’industrie. Voici quelques-uns des sujets mis en avant lors de cette première foire :

Conférence sur les applications de l’impression 3D – animée par UNLANDS
UNLANDS, l’une des principales plateformes de fabrication numérique en nuage de Chine, s’est associée à l’organisateur de Formnext + PM South China pour accueillir la première conférence sur les applications de l’impression 3D, dont l’ouverture est prévue le 10 septembre 2021 au Shenzhen International Convention and Exhibition Center. Les sujets abordés lors de la conférence fourniront aux participants physiques et virtuels les dernières nouvelles et applications des matériaux, équipements, logiciels et services d’impression 3D, entre autres.

Conférence sur le lancement de produits de fabrication additive et de métallurgie des poudres en Chine
La conférence sur le lancement de produits de fabrication additive et de métallurgie des poudres en Chine, organisée conjointement par les organisateurs de Formnext + PM South China et certaines des publications les plus réputées du secteur dans la région, fera sa première apparition au salon. Outre le fait qu’il s’agit d’une plateforme permettant aux fournisseurs de présenter leurs derniers produits, un groupe de spécialistes de l’industrie formera un jury pour élire le produit le plus innovant lancé lors de la conférence. Parmi les exposants confirmés à ce jour pour la conférence figurent SLM, Rayshape, Shenzhen Creality 3D Technology, Shenzhen Anycubic, UNIZ et d’autres.

Le 3e sommet de la Chine du Sud sur les technologies et les applications du moulage par injection et de la fabrication additive
Le sommet réunira de nombreux leaders de l’industrie nationale et internationale et des experts en fabrication pour partager leurs expériences et leurs visions sur certaines des applications et solutions les plus innovantes pour la fabrication additive et le moulage par injection. L’objectif du sommet est d’identifier les besoins techniques au cours de divers processus de production, tout en facilitant le développement et la popularité des technologies de fabrication additive et d’autres matériaux avancés sur le marché chinois.

Le 2e forum sur la technologie de préparation des substrats céramiques et le développement des applications de la chaîne industrielle
Présidé par des experts et des intervenants universitaires représentant des entreprises industrielles et des instituts de recherche renommés, le forum mettra en lumière des sujets liés à la céramique, notamment la préparation des substrats céramiques, les applications des substrats céramiques dans différents processus de fabrication, ainsi que les dernières découvertes et tendances en matière de développement des substrats céramiques. Le forum sert de centre d’échange d’informations pour mettre en lumière les tendances de l’industrie et les perspectives du marché.

Formnext + PM South China est organisé conjointement par Guangzhou Guangya Messe Frankfurt Co Ltd et Uniris Exhibition Shanghai Co Ltd. Formnext + PM South China fait partie d’une série d’événements internationaux comprenant Asiamold, Formnext et Rosmould. Asiamold 2022 se tiendra du 3 au 5 mars 2022. La prochaine édition de Formnext se tiendra du 16 au 19 novembre 2021 à Francfort. La prochaine édition de Rosmould aura lieu du 15 au 17 juin 2021 à Moscou.